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La Route de la Soie - Éditions - Page 12

  • Une course à finir

     

    Roland Giraud, une course à finir, route de la soie-éditions, livres, art, littérature

    Dans ce récit Roland Giraud nous entraîne à la verticale. Nous avons avec lui le souffle court, le coeur qui bat fortement. Avec lui nous suivons cette histoire de vie, d'amour, de défis, de dépassement. Nous sommes encordés, nous grimpons, nous jouons à cache-cache avec le sommet.

     

    • Genre : Récit
    • Nombre de pages : 132 
    • ISBN : 9791097042615
    • Date de parution : 09/11/2020 
    • Langue: français
  • Si le vent se levait

    Roland Giraud, poésie, si le vent se levait, livre, route de la soie - éditions

     

    Genre : Poésie

    Nombre de pages : 68 

    ISBN : 9791097042608

    Date de parution : 09/11/2020 

    Langue : français

     

    Roland Giraud revient avec un nouveau recueil de poèmes. Un livre merveilleux, fragile, d'une immense douceur. Peu à peu, mot après mot, le lecteur découvre l'envers de la folie du monde, une sérénité... Il y a de la rêverie, de l'humilité... Une très belle leçon de poésie.

     

  • Méta de Choc

    Méta de Choc, Route de la Soie, Collection, Livres

    Inspirée du podcast de conversation Méta de Choc créé en février 2019 par Élisabeth Feytit, cette collection d’ouvrages au format poche reprend les meilleures émissions de la chaîne en y ajoutant des développements inédits.

    De livre en livre, elle se donne pour mission de stimuler la pensée critique appliquée à soi. Que ce soit sous forme d’analyse d’expert ou de témoignage, elle interroge ce qui conditionne la manière dont nous pensons : croyances, biais cognitifs, manipulation mentale, déconversion, éducation, identité, genre, émotions, rationalité, intelligence, etc.

    En somme, cette collection encourage à la métacognition (réflexion sur notre propre pensée) en plongeant le lecteur dans l’intimité de la fabrique de ses jugements et de ses comportements.

    Vous n’imaginez pas ce que vous pensez !

     

  • Reza Guemmar

    image-1.pngIngénieur en électronique, diplômé en 1992 de l'Université des Sciences et de Technologies Houari Bourmediene (USTHB). Titulaire en 1996 d'un diplôme universitaire en informatique appliquée de l'université d'Orsay Paris XI. Responsable de projets en Informatique dans une grande multinationale.
    Depuis 1990, il est militant politique. Depuis plus de 20 ans, il milite également dans l'humanitaire.Cofondateur de plusieurs Think Tank, il n'en demeure pas moins amoureux des sciences sociales et de la politique.
    Il est également membre d'Algériens Sans Frontières (ASF) monde et Président d'Algériens Sans Frontières France.

  • Lachemi Belhocine

    Lachemi Belhocine, Algérie, constitution, droit, égalité, démocratiePassionné par les sciences juridiques, titulaire d'une licence en droit Algérien (1988) et d'une licence en droit Suisse (1998), titulaire d'un brevet d'avocat au barreau Suisse (2002). Passionné par les langues, il parle kabyle, arabe, français, anglais, allemand et espagnol. Actif  dans le domaine humanitaire depuis 1991, cofondateur de l'association "Avenir" en 2007. Depuis mai 2019,Il est également cofondateur et Président d'Algériens sans frontières (ASF)

  • Dialogue Chine-France n°4

    Dialogue Chine France, Diplomatie, Chine, France, échange, politique, économie

     

    Ce nouveau numéro de la revue Dialogue explore la coopération sino-française d'un point de vue commercial et économique. Il s'agit à nouveau d'apporter des regards d'expert des deux pays et comprendre toute l'importance de ces liens pour la Chine, la France mais aussi pour l'Europe.

     

    Ont participé ce numéro : GAO YUANYUAN  (ministre conseiller de l’ambassade de Chine en France), BIAN YONGZU (directeur adjoint du département de la recherche industrielle de l’Institut Chongyang d’études financières de l’Université Renmin de Chine), BARTHÉLÉMY COURMONT (maître de conférences à l’Université catholique de Lille, directeur de recherche à l’IRIS et responsable du programme Asie-Pacifique), YAO LING (directrice et chercheuse du Département de l’Europe de l’Institut de recherche sur la coopération économique et le commerce international relevant du ministère du Commerce de Chine), JOËL RUET (président du groupe de réflexion français The Bridge Tank), WU ZENGYU (membre du Bureau des affaires étrangères du Fujian), CHEN SHUNJIN (chef de section du Département du commerce du Fujian), ANTÓNIO GUTERRES (secrétaire général des Nations Unies),  LIU ZHENMIN (secrétaire général adjoint des Nations Unies pour les affaires économiques et sociales), FENG ZHONGPING (vice-président de l’Institut chinois des relations internationales contemporaines), REN YUANZHE (professeur associé au Département de la diplomatie et de la gestion des affaires étrangères à l’Université des affaires étrangères de Chine), DAVID GOSSET (sinologue, est le fondateur du Forum Europe-Chine. Il est l’auteur de Limited Views on the Chinese Renaissance (2018), LI YI (chercheur adjoint à l’Institut du commerce international et de la coopération économique au ministère du Commerce), WANG WEI (journaliste au Qingdao Daily), JAVIER GIMENO (directeur général adjoint du groupe Saint-Gobain, directeur général région Asie-Pacifique), LI XIAOPING(directeur du Bureau des affaires étrangères de Xiamen), GUO ZHIDONG (chercheur en culture traditionnelle chinoise au Musée de la cour n°93, à Beijing), STEVE BLAKE(représentant en chef de WildAid en Chine), LIU KAILIN (rédactrice au département de la coopération et de l’édition internationales des Éditions des sciences sociales de Chine), SÉBASTIEN ROUSSILLAT (traducteur professionnel, il a remporté le IVe concours « Pont vers le chinois » en 2011), SARA ROLET (bachelor en marketing et communication), LIU SUQIAO (rédactrice indépendante).

     

  • Appel à texte pour la revue Diplômées

    Diplômées, revue, genre, Femmes, droit des femmes, égalité,

    Diplômées 276-277 : le Genre

    Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université (AFFDU). Dans le cadre de ses actions, l’association cherche à donner de la visibilité aux femmes dans tous les domaines et notamment la recherche.
    Pourquoi un tel thème pour ce numéro ? L’Association, en 2020, a fêté son centenaire deux numéros nous ont permis d’aborder l’histoire des femmes d’abord avec les Pionnières (n°270-271) puis avec le numéro 100 ans de luttes pour l’égalité (n°272-273). Mais au fur et à mesure de la constitution de ces numéros ainsi que du suivant sur les Passions (n°274-275), nous nous sommes retrouvé.e.s face à un océan de nouveaux questionnements autour du « genre » et de ses intersections pluridisciplinaires.
    Raisons pour lesquelles, nous faisons aujourd’hui un numéro autour du « genre ». Comme champ de recherche, on évoque les « études de genre » (traduction littérale de l’anglais gender studies). Ces études se définissent de façon très large comme « l’ensemble des recherches qui prennent pour objet les femmes et les hommes, le féminin et le masculin ».
    Mais que faut-il entendre par cet ensemble de recherches ? Sommes-nous en quête de la compréhension de comment le « genre » se forme, se caractérise puis s’encre définitivement dans la structure psychique individuelle et/ou collective ?
    Le concept de genre aurait-il été construit pour étudier la façons dont « nos » sociétés pensent, organisent, arrangent, hiérarchisent la différenciation des sexes ? Est-ce aussi questionner les normalisations des comportements sexuels ?

    Nous le voyons « le genre » interroge les catégories de femmes, d’hommes, de sexe, de sexualité, d’intersexuation, de féminin, de masculin, de féminité, de masculinité. Le genre les regarde comme des constructions sociales. Pour répondre à nos interrogations sur le genre nous devons donc convoquer l’ensemble des disciplines en sciences humaines et sociales mais également les sciences du vivant, l’architecture, la politique, la géographie.
    Dans l’Introduction aux études de genre, on peut découvrir que ce concept de « genre » repose sur quatre dimensions fondamentales.
    La première dimension est une évidence : le genre est une construction sociale. Une attribution qui nous plonge dans des habitudes mentales et sociétales telles qu’il est souvent difficile de les déconstruire.
    La seconde dimension pose le genre comme un processus relationnel. Ici nous pourrions penser aux travaux de Christine Delphy (cf. L’ennemi principal). Elle proposait une approche des relations hommes/femmes en termes de rapports sociaux de production – un féminisme matérialiste.

    La troisième dimension fait du genre un rapport de pouvoir. Cette dimension serait-elle mise en évidence par les « Queer studies » ? Marie-Hélène Bourcier qui traduit littéralement « Queer » par « ordure, taré, anormal, gouine, trou du cul, malsain, vraiment bizarre » (cf. Queer Zone, éd. Balland, 2001). Pour sortir de ce rapport de pouvoir Marie-Hélène Bourcier propose une boîte à outils qui n’est pas purement universitaire, au sens traditionnel du terme, puisqu’il y a dedans « le cul ».
    Et c’est là que nous pouvons prendre conscience que la question du genre s’imbrique dans d’autres rapports de pouvoir.
    Cinquième dimension du genre, cette imbrication dans tous les états de nos vies sociales. Là nous devons prendre conscience que le genre est relié aux enjeux de pouvoirs liés au sexe, aux identités sexuées et aux sexualités. Nécessairement questionner le genre c’est mettre en évidence des formes d’inégalités et de discriminations.
    Autant de questions auxquelles nous souhaiterions vous inviter à investiguer. Quel que soit votre champ de recherche, questionnons ensemble « le genre » dans tous ses états…

    En vous conformant aux règles de publication de notre revue Diplômées,
    merci d’adresser vos articles avant le 20 janvier 2021.

     

  • Lyazid Benhami : « Osons être ambitieux pour l’Algérie ! »

    Capture d’écran 2020-10-28 à 14.24.03.pngNous publions ci-dessous l’intervention de l’écrivain Lyazid Benhami, lors de la rencontre du 10 octobre 2020 tenue à l’Académie de la diplomatie des relations internationale à Genève autour du livre « Projet de Constitution de l’Algérie nouvelle » co-rédigé par Maitres Lachemi Belhocine et Reza Guemmar. Contribution.

    Mesdames, Messieurs,

    Je tiens tout d’abord à remercier messieurs Lachemi Belhocine et Reza Guemmar pour leur travail sérieux. En nous proposant le Projet de constitution de l’Algérie nouvelle, ils nous invitent à être ambitieux pour notre pays, et par-delà à rendre hommage à nos martyrs pour les sacrifices consentis.

    Ce Projet de constitution de l’Algérie nouvelle implique une vision politique et un choix de société.

    Par les différents sujets évoqués, on ne peut qu’être qu’optimiste sur les perspectives sociétales. Ces propositions revêtent un caractère universel. Pour la plupart d’entre elles sont issues de constitutions ayant fait leurs preuves dans le temps, et pour d’autres elles sont inspirées par les us et coutumes de l’Algérie.

    Une vision politique ambitieuse n’est possible qu’en ayant et qu’en s’appuyant sur un certain courage politique.

    Au vu des propositions suggérées dans ce travail, nous ne pouvons qu’y adhérer, et peut-être même que d’autres pays pourraient s’y inspirer.

    Les sujets abordés sont ambitieux et modernes, tels que :

    –       La neutralité et l’impartialité de l’Etat dans le domaine des cultes.

    –       Une égalité parfaite entre les femmes et les hommes

    –       Une démocratie participative (souveraineté du peuple).

    –       Une indépendance du pouvoir judiciaire (avec une autonomie organisationnelle et budgétaire)

    –       Une réforme de l’État (décentralisation du pouvoir exécutif, autonomie communale, mise en place d’une armée républicaine et enfin protéger l’Institution militaire de tout clivage politique, mise en avant du référendum).

    La Constitution idéale, je dirai qu’il faut la rêver, la penser, et enfin l’exprimer. C’est ce que nos deux amis ont tenté de faire. En tout cas cet exercice est réussi, il ne peut laisser indifférent plus d’un.

    Toute loi fondamentale est perfectible. Celle figurant dans cet ouvrage a plusieurs mérites, notamment ceux de la stabilité et de la modernité, en sus de son efficience. Cette œuvre est issue d’une étude comparative de 130 constitutions à travers le monde. Les auteurs se sont attachés notamment aux principes de jurisprudence et aux mécanismes juridiques innovants. Par exemple :  une souveraineté populaire dans laquelle la commune devient un instrument important et le pilier de son exercice.

    La démocratie est très certainement une conception qui varie d’un pays à un autre. Par cette proposition du Projet de constitution de l’Algérie Nouvelle, les auteurs semblent privilégier une démocratie et une organisation de la vie politique et culturelle spécifiques aux us et coutumes de l’Algérie. Cette proposition de démocratie à l’algérienne est soucieuse des valeurs historiques et culturelles algériennes.

    On remarque dans le préambule de ce projet, également la référence aux valeurs de la culture algérienne et à l’esprit du Congrès de la Soummam.

    Comme disait Aristote, » le commencement est plus que de la moitié de l’objectif  », donc osons être ambitieux pour l’Algérie, en invitant au débat constructif et salvateur mais sans exclure aucune sensibilité.

    Je n’oublie pas que le mérite revient en priorité aux citoyennes et aux citoyens qui ont su exprimer depuis longtemps leurs revendications légitimes de changement. Je dirai qu’en quelques sortes, nos deux co-auteurs ne sont que la plume de ce digne peuple algérien.

    Si Jean Jacques Rousseau, le premier à avoir conféré la souveraineté au peuple, avait attendu l’assentiment de quelqu’un, il n’aurait certainement pas écrit « Du Contrat social » !

     

    Lyazid Benhami (*)

     

    Lire l'article sur le site de DZVID

  • Une Constitution pour une Algérie nouvelle ?

    Capture d’écran 2020-10-27 à 09.05.03.pngLe livre de Lachemi Belhocine et de Reza Guemmar, « Projet de Constitution de l'Algérie nouvelle», a fait l'objet d'un débat riche et passionnant lors de la rencontre organisée par le réseau Algériens sans frontières (ASF) le 10 octobre dernier à l'Académie de la diplomatie et des relations internationale à Genève. Compte-rendu.

    L’Algérie, un des grands pays Africains pour ne pas dire dans le monde, qu’on appelait il y a quelques années la « Mecque des révolutionnaires », aujourd’hui titube, vacille et n’arrive plus, parait-il, à retrouver son chemin en tant que : « République algérienne démocratique et populaire », projetée par le Congrès de la Soummam magistralement conduit par le duo Abane Ramdane et Ben M’hidi ! Est-ce une fatalité ?

    Les crises successives, en l’occurrence la Crise de l’été 1962, le Printemps berbère, les Evènements d’octobre 88, le Terrorisme des années 1990, le Printemps noir et le Mouvement populaire de 22 février 2019 ne sont-ils pas autant d’indicateurs qui renseignent à plus d’un titre que le système politique algérien, né depuis l’indépendance à ce jour, grogne dans tous ses rouages ?

    Mais comme le soulignait si bien Me Mabrouk Belhocine, une des mémoires de l’Algérie colonisée et décolonisée : « on doit écrire l’histoire même avec ses pages noires ». Son compagnon de lutte Ferhat Abbas, premier président Gouvernement provisoire de République algérienne, prononce la sentence : « Un Etat « confisqué » est un Etat « mort-né ».

    Que se passe-t-il avec l’Algérie, 58 ans après son indépendance ? Sommes-nous un troupeau de moutons qui donnera naissance à un gouvernement de loups, pour reprendre Agatha Christie ? Montesquieu n’avait-t-il pas raison dans sa sentence dans son œuvre L’esprit des lois : « toute nation a le gouvernement qu’elle mérite » ?

    Les Algériennes et Algériens peuvent-ils se concilier et se réconcilier et marcher comme un seul homme et prendre conseil de son histoire et discuter de son présent pour projeter son futur ? Pouvons-nous débattre d’un modèle institutionnel et constitutionnel à la hauteur de nos aspirations et de notre histoire, autrement dit d’une Algérie nouvelle que le peuple ne cesse de revendiquer ?

    Le Mouvement populaire, appelé « révolution du sourire » ou « Hirak », aboutira-t-il à la mise en place d’un système politique tenant compte des spécificités algériennes ? Un système qui s’articulera autour de la souveraineté du peuple, adapté à la société et à ses valeurs et tenant compte de règles pragmatiques capables de donner naissance à une démocratie algérienne est-il possible ?

    La réponse est évidente mais encore faut-il définir et puis avoir le courage de partager ce meilleur. C’est ce qu’a été débattu lors d’une rencontre organisée par le réseau Algériens Sans frontières (ASF) le 10 octobre dernier à l’Académie de la diplomatie des relations internationale à Genève, autour du livre de Lachemi Belhocine et de Reza Guemmar, « Projet de constitution de l’Algérie nouvelle».

    « Projet de constitution de l’Algérie nouvelle» 

    Le Projet de constitution de l’Algérie nouvelle est le résultat d’une étude comparative de 130 constitutions en vigueur à travers le monde. Il faut ajouter à cela un travail minutieux mené sur le terrain et à travers les quatre coins du pays. « Nul besoin de système politique importé », lit-on dans l’avant-poste de l’ouvrage « Projet de constitution de l’Algérie nouvelle ». Toute loi fondamentale est perfectible. Celle figurant dans cet ouvrage a plusieurs mérites, notamment ceux de la stabilité et de la modernité, attachés notamment aux principes de jurisprudence et aux mécanismes juridiques qui ont fait leurs preuves depuis très longtemps.

    A l’ouverture des interventions, Me Lachemi Belhocine, présidant du ASF, avait dans sa plaidoirie décortiqué la question : C’est quoi une Algérie nouvelle ? Est-ce le retour aux racines avec un nouveau départ ? N’est-il pas temps que l’Algérie retrouve son chef historique et  signataire de son extrait de naissance, en l’occurrence  Karim Belkacem à Evian ?