égalité
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En ce 8 mars, hommage à nos autrices
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Anne Bergheim-Nègre & la conférence sur la convention d'Istanbul
Edition exceptionnelle des Mardis de la CLEF, cette conférence a été labellisée par le Secrétariat Général de la Présidence française de l'Union Européenne. Organisée par la CLEF en partenariat avec University Women of Europe
Accueil Jocelyne-Adriant-Mebtoul, Présidente de la CLEF, Présidente fondatrice de Femmes du Monde et Réciproquement et experte à la Commission Affaires Internationales et Européenne du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes
Introduction : Elisabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances
Modération : Docteure Anne Bergheim-Nègre, Présidente de l'UWE et Past Vice-Présidente en charge de l'égalité de la Conférence des OING du Conseil de l'Europe.
Première partie : La Convention dite d'Istanbul ou Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre les violences à l'égard des femmes et la violence domestique.
- Claudia Lam, Adjointe au Directeur du cabinet de Dunja Mijatović, Commissaire aux Droits de l’Homme du Conseil de l’Europe
- Dilek Elveren, Experte Egalité femmes-hommes, ancienne responsable genre de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF)
- Neil Datta, Secrétaire général du Forum Parlementaire Européen pour les Droits sexuels et reproductifs
- Hélène Furnon-Petrescu, Cheffe du Service des Droits des Femmes et à l’Egalité entre les femmes et les hommes (SDFE), Direction générale de la cohésion sociale
Deuxième partie : Le rôle que peut et doit jouer la PFUE (Présidence française de l'Union européenne) pour consolider la portée de ce traité international essentiel pour les droits des femmes.
- Marie Fontanel, Présidente du Comité des Parties de la Convention d'Istanbul
- Claire Fourçans, Directrice des politiques et des campagnes du Lobby Européen des Femmes (LEF/EWL)
- Delphine O, Ambassadrice, Secrétaire générale du Forum Génération Égalité 2021 en charge de son suivi
Conclusion Nicole Ameline, Ancienne Ministre de la Parité et de l'Égalité Professionnelle (2002-2005), ancienne Présidente et Vice-Présidente (2013-2020) du Comité pour l'Elimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDEF/CEDAW), dont elle est aujourd’hui Membre-Experte (2021-2024)
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La convention d'Istanbul : socle et rempart des droits des femmes
Le 1er février 2022, de 18h à 20h,
dans le cadre des Mardis de la CLEF,
la CLEF organise une conférence exceptionnelle,
labellisée par le Secrétariat Général de la Présidence française du Conseil de l'Union Européenne (PFUE) !
La conférence prendra la forme d'un webinaire, pouvant accueillir jusqu'à 500 participant.e.s venu.e.s du monde entier, grâce à un dispositif de traduction de l'anglais vers le français.
Elle se déroulera en deux parties de 45 minutes chacune, la première présentant la Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre les violences à l'égard des femmes et la violence domestique, dite Convention d'Istanbul et la seconde portant sur le rôle de la PFUE pour développer la portée de ce traité international fondamental pour les droits de toutes les femmes.
Cet événement est organisé en partenariat avec le Groupe Européen des Femmes Diplômées d'Université (GEFDU) et l'University Women of Europe (UWE)
>>INSCRIVEZ-VOUS ICI (gratuit)<<
DEROULE :
Modération
Docteure Anne Bergheim-Nègre, Présidente de l’UWE et Past Vice-Présidente en charge de l’égalité de la Conférence des OING du Conseil de l’Europe.
Accueil
Jocelyne-Adriant-Mebtoul, Présidente de la CLEF, Présidente fondatrice de Femmes du Monde et Réciproquement et experte à la Commission Affaires Internationales et Européenne du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes.
Introduction
Elisabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier Ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Egalité des chances
Première partie : La Convention dite d’Istanbul ou Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes et la violence domestique.
– Claudia Lam, Adjointe du Directeur du cabinet de Dunja Mijatović, Commissaire aux Droits de l’Homme du Conseil de l’Europe
– Marie Fontanel, Présidente du Comité des Parties de la Convention d’Istanbul
– Dilek Elveren, Experte Egalité femmes-hommes, ancienne responsable genre de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF)
– Neil Datta, Secrétaire général du Forum Parlementaire Européen pour les Droits sexuels et reproductifs
Seconde partie : Le rôle que peut et doit jouer la PFUE (Présidence française de l’Union européenne) pour consolider la portée de ce traité international essentiel pour les droits des femmes.
– Hélène Furnon-Petrescu, Chef
fe du Service des Droits des femmes et de l'Égalité entre les femmes et les hommes (SDFE), Direction générale de la Cohésion sociale – Delphine O, Ambassadrice, Secrétaire générale du Forum Génération Égalité 2021 en charge de son suivi
– Claire Fourçans, Directrice des politiques et des campagnes du Lobby Européen des Femmes (LEF/EWL)
Conclusion
Nicole Ameline, Ancienne Ministre de la Parité et de l’Égalité Professionnelle (2002-2005), ancienne Présidente et Vice-Présidente (2013-2020) du Comité pour l’Elimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDEF/CEDAW), dont elle est aujourd'hui Membre-Experte
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L'algorithme de Facebook contre l'égalité ou pour les inégalités ?
Généralement nous essayons de promouvoir nos livres et nos auteurs sur les réseaux sociaux. C'est une façon de se jouer des choix de la presse consensuelle. Et là nous avons voulu promouvoir le livre de Anne Bergheim-Nègre ! Et bizarrement, le soir même nous avions un refus de faire cette publicité.
Rappelons que le livre en question s'intitule L'histoire de l'inégalité entre les femmes et les hommes !
Donc il s'apparentait à un combat politique, ou à un parti. Ah bizarre ! Une analyse historique montrant point par point comme s'est articulée l'idée de l'inégalité dans la culture occidentale européenne dérange l'algorithme... Autant de raison qui nous poussent à écrire cette note afin d'alerter chacun des pouvoirs des algorithmes dans la création des filtres...
Alors le machisme a-t-il encore de beaux jours devant lui ? Pour la peine, on diffuse sur tous les réseaux sous une autre forme...
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Appel à texte pour la revue Diplômées
Diplômées 276-277 : le Genre
Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université (AFFDU). Dans le cadre de ses actions, l’association cherche à donner de la visibilité aux femmes dans tous les domaines et notamment la recherche.
Pourquoi un tel thème pour ce numéro ? L’Association, en 2020, a fêté son centenaire deux numéros nous ont permis d’aborder l’histoire des femmes d’abord avec les Pionnières (n°270-271) puis avec le numéro 100 ans de luttes pour l’égalité (n°272-273). Mais au fur et à mesure de la constitution de ces numéros ainsi que du suivant sur les Passions (n°274-275), nous nous sommes retrouvé.e.s face à un océan de nouveaux questionnements autour du « genre » et de ses intersections pluridisciplinaires.
Raisons pour lesquelles, nous faisons aujourd’hui un numéro autour du « genre ». Comme champ de recherche, on évoque les « études de genre » (traduction littérale de l’anglais gender studies). Ces études se définissent de façon très large comme « l’ensemble des recherches qui prennent pour objet les femmes et les hommes, le féminin et le masculin ».
Mais que faut-il entendre par cet ensemble de recherches ? Sommes-nous en quête de la compréhension de comment le « genre » se forme, se caractérise puis s’encre définitivement dans la structure psychique individuelle et/ou collective ?
Le concept de genre aurait-il été construit pour étudier la façons dont « nos » sociétés pensent, organisent, arrangent, hiérarchisent la différenciation des sexes ? Est-ce aussi questionner les normalisations des comportements sexuels ?Nous le voyons « le genre » interroge les catégories de femmes, d’hommes, de sexe, de sexualité, d’intersexuation, de féminin, de masculin, de féminité, de masculinité. Le genre les regarde comme des constructions sociales. Pour répondre à nos interrogations sur le genre nous devons donc convoquer l’ensemble des disciplines en sciences humaines et sociales mais également les sciences du vivant, l’architecture, la politique, la géographie.
Dans l’Introduction aux études de genre, on peut découvrir que ce concept de « genre » repose sur quatre dimensions fondamentales.
La première dimension est une évidence : le genre est une construction sociale. Une attribution qui nous plonge dans des habitudes mentales et sociétales telles qu’il est souvent difficile de les déconstruire.
La seconde dimension pose le genre comme un processus relationnel. Ici nous pourrions penser aux travaux de Christine Delphy (cf. L’ennemi principal). Elle proposait une approche des relations hommes/femmes en termes de rapports sociaux de production – un féminisme matérialiste.La troisième dimension fait du genre un rapport de pouvoir. Cette dimension serait-elle mise en évidence par les « Queer studies » ? Marie-Hélène Bourcier qui traduit littéralement « Queer » par « ordure, taré, anormal, gouine, trou du cul, malsain, vraiment bizarre » (cf. Queer Zone, éd. Balland, 2001). Pour sortir de ce rapport de pouvoir Marie-Hélène Bourcier propose une boîte à outils qui n’est pas purement universitaire, au sens traditionnel du terme, puisqu’il y a dedans « le cul ».
Et c’est là que nous pouvons prendre conscience que la question du genre s’imbrique dans d’autres rapports de pouvoir.
Cinquième dimension du genre, cette imbrication dans tous les états de nos vies sociales. Là nous devons prendre conscience que le genre est relié aux enjeux de pouvoirs liés au sexe, aux identités sexuées et aux sexualités. Nécessairement questionner le genre c’est mettre en évidence des formes d’inégalités et de discriminations.
Autant de questions auxquelles nous souhaiterions vous inviter à investiguer. Quel que soit votre champ de recherche, questionnons ensemble « le genre » dans tous ses états… -
Lyazid Benhami : « Osons être ambitieux pour l’Algérie ! »
Nous publions ci-dessous l’intervention de l’écrivain Lyazid Benhami, lors de la rencontre du 10 octobre 2020 tenue à l’Académie de la diplomatie des relations internationale à Genève autour du livre « Projet de Constitution de l’Algérie nouvelle » co-rédigé par Maitres Lachemi Belhocine et Reza Guemmar. Contribution.
Mesdames, Messieurs,
Je tiens tout d’abord à remercier messieurs Lachemi Belhocine et Reza Guemmar pour leur travail sérieux. En nous proposant le Projet de constitution de l’Algérie nouvelle, ils nous invitent à être ambitieux pour notre pays, et par-delà à rendre hommage à nos martyrs pour les sacrifices consentis.
Ce Projet de constitution de l’Algérie nouvelle implique une vision politique et un choix de société.
Par les différents sujets évoqués, on ne peut qu’être qu’optimiste sur les perspectives sociétales. Ces propositions revêtent un caractère universel. Pour la plupart d’entre elles sont issues de constitutions ayant fait leurs preuves dans le temps, et pour d’autres elles sont inspirées par les us et coutumes de l’Algérie.
Une vision politique ambitieuse n’est possible qu’en ayant et qu’en s’appuyant sur un certain courage politique.
Au vu des propositions suggérées dans ce travail, nous ne pouvons qu’y adhérer, et peut-être même que d’autres pays pourraient s’y inspirer.
Les sujets abordés sont ambitieux et modernes, tels que :
– La neutralité et l’impartialité de l’Etat dans le domaine des cultes.
– Une égalité parfaite entre les femmes et les hommes
– Une démocratie participative (souveraineté du peuple).
– Une indépendance du pouvoir judiciaire (avec une autonomie organisationnelle et budgétaire)
– Une réforme de l’État (décentralisation du pouvoir exécutif, autonomie communale, mise en place d’une armée républicaine et enfin protéger l’Institution militaire de tout clivage politique, mise en avant du référendum).
La Constitution idéale, je dirai qu’il faut la rêver, la penser, et enfin l’exprimer. C’est ce que nos deux amis ont tenté de faire. En tout cas cet exercice est réussi, il ne peut laisser indifférent plus d’un.
Toute loi fondamentale est perfectible. Celle figurant dans cet ouvrage a plusieurs mérites, notamment ceux de la stabilité et de la modernité, en sus de son efficience. Cette œuvre est issue d’une étude comparative de 130 constitutions à travers le monde. Les auteurs se sont attachés notamment aux principes de jurisprudence et aux mécanismes juridiques innovants. Par exemple : une souveraineté populaire dans laquelle la commune devient un instrument important et le pilier de son exercice.
La démocratie est très certainement une conception qui varie d’un pays à un autre. Par cette proposition du Projet de constitution de l’Algérie Nouvelle, les auteurs semblent privilégier une démocratie et une organisation de la vie politique et culturelle spécifiques aux us et coutumes de l’Algérie. Cette proposition de démocratie à l’algérienne est soucieuse des valeurs historiques et culturelles algériennes.
On remarque dans le préambule de ce projet, également la référence aux valeurs de la culture algérienne et à l’esprit du Congrès de la Soummam.
Comme disait Aristote, » le commencement est plus que de la moitié de l’objectif », donc osons être ambitieux pour l’Algérie, en invitant au débat constructif et salvateur mais sans exclure aucune sensibilité.
Je n’oublie pas que le mérite revient en priorité aux citoyennes et aux citoyens qui ont su exprimer depuis longtemps leurs revendications légitimes de changement. Je dirai qu’en quelques sortes, nos deux co-auteurs ne sont que la plume de ce digne peuple algérien.
Si Jean Jacques Rousseau, le premier à avoir conféré la souveraineté au peuple, avait attendu l’assentiment de quelqu’un, il n’aurait certainement pas écrit « Du Contrat social » !
Lyazid Benhami (*)
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Conférence de Lachemi Blhocine & Reza Guemmar
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Diplômées n°272-273 : 100 ans de luttes pour l'égalité
Diplômées est la revue de l'Association Française des Femmes Diplômées des Universités (AFFDU). Revue scientifique à comité de rédaction, elle a pour vocation de promouvoir la recherche et la visibilité des femmes chercheuses en Europe.
"100 ans de lutte(s) pour l'égalité" est un numéro particulier. Il s'agit pour l'AFFDU de fêter son centenaire. Un siècle de luttes pour convaincre de la nécessité de l'égalité mais aussi soutenir l'éducation des femmes. Depuis sa création en 1920, l'AFFDU ne cesse d'affirmer que ce sont là deux facteurs de paix.
Cependant, fêter les 100 années passées ne suffit pas ! Nous devons aussi regarder le futur et proposer aux nouvelles générations de prendre la continuité de la lutte. Et comment fêter, les 100 ans sans appeler nos soeurs de luttes ? Ce numéro révèle ainsi le siècle écoulé en faisant le point sur les luttes passées mais cherche aussi à poser les questions du futur.
Ont participé à ce numéro : Nicole Fouché, Corinne M. Belliard, Monique Dental, Marie-Josée Salmon, Geneviève Fraisse, Jean-Michel Belorgey, Marie Claire Hamard, Catherine Guyot, Christine Villeneuve, Sylvina Boissonas, Elisabeth Nicoli, Anne Bergheim-Nègre, Isabelle Poinloup, Claude Mesmin, Françoise Thébaud, Françoise Sauvage, Cynthia Ghorra-Gobin, Catherine Philippe, Isabelle Germain, Natacha Henry, Moira Sauvage, Claudine Monteil, Sonia Bressler, Yvette Cagan, Anne-Sophie Coppin, Isabelle Mons, Martine Ségalen, Jing Xie
- Genre : Essai/revue
- ISBN : 9791097042554
- Format : 15,5 x 22 cm
- Nombre de pages : 380 pages
- Date de parution : 22 juillet 2020
- Prix : 22 euros
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Diplômées n°270-271 : Les Pionnières
Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université. Dans le cadre de ses actions l’association cherche à donner de la visibilité aux femmes dans tous les domaines et notamment la recherche.
« Les Pionnières », voici un thème qui nous tenait particulièrement à coeur. Par cette expression, nous cherchons, dans ce numéro, à rendre hommage aux femmes qui explorent l’humanité, mais aussi le monde, ou bien l’espace.
Elles sont plus nombreuses qu’on ne peut le soupçonner. Souvent loin des médias, elles passent sous les espaces traditionnels de visibilité. Ce numéro est consacré à celles d’hier mais aussi d’aujourd’hui. Au travers de plusieurs chapitres et de nombreux articles, il s’agit de tracer des portraits, des parcours, mais aussi de découvrir le lien entre toutes ces femmes.Ont participé à ce livre : Marie Bagi, Isabelle Béné, Sonia Bressler, Yvette Cagan, Anne-Sophie Coppin, Annie Crépin, Françoise Dasque, Laurence Frabolot, Jie Gao, Renée Gérard, Stéphanie Gicquel, Nadine Gomez, Alain Janicot, Christine Janin, Fanny Lévy, Claude Mesmin, Isabelle Mons, Elisabeth Nicoli, Sylvina Boissonnas, Michèle Idels, Nadia Pour, Françoise Richard, Hélène Romano, Maria Grazia Soldati, Sylvie Técoutoff, Inès Vissouze de Haven, Laetitia Vivien, Jing Xie.
- Genre : Essai/Revue
- ISBN : 979-1097042370
- Nombre de pages : 372
- Format : 15,5 x 22 cm
- Prix : 22€
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Diplômées 268-269 : Les cultures numériques
La Revue Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université. Revue scientifique à comité de rédaction, elle a pour vocation de promouvoir la recherche et la visibilité des femmes chercheuses en Europe. D’inspiration généraliste et interdisciplinaire, libre à l’égard de toute école de pensée et des modes intellectuelles. Sa périodicité est de quatre numéros par an, elle accueille ainsi des textes théoriques et de recherches.
Dans ce numéro de Diplômées nous interrogeons les nouvelles pratiques culturelles afin de tenter de circonscrire la culture à l’heure du « tout numérique ».
Parler des cultures numériques, c’est parler des choses qui fâchent comme l’obéissance (soumission librement consentie), la mondialisation, l’obsolescence programmée, de la culture de masse, des inégalités numériques, de l’intelligence artificielle, des biais cognitifs entretenus ou créés, et en arrière plan la privatisation des enjeux géopolitiques…
Cependant parler des cultures numériques, c’est aussi parler des choses qui étonnent comme l’évolution des comportements : la sexualité, les amitiés, la créativité passe-t-elle par des templates (des pages pré-programmées où il suffit de copier-coller son texte), la vie en réseaux, les selfies (photographies de soi-même), l’entrée de l’Intelligence Artificielle dans le quotidien, la quantification de la vie humaine…
Créer un dossier sur les cultures numériques consiste à explorer de façon systémique un ensemble de champs de réflexion parmi lesquels, nous trouvons : l’économie, le social, le juridique, le politique, la géopolitique, les enjeux éthiques.Ont participé à ce numéro : Aude Bernheim, Adrien Bernheim, Geneviève Bouché, Caroline Body, Carine Braun-Hénéault, Sonia Bressler, Isabelle Broué, Yvette Cagan, Marie-Thérèse Couy, Laurence Devillers, Monique Grandbastien, Xie Jing, Christine Martin, Sylvianne Masson, Claude Mesmin, Sylvie Octobre, Hélène Romano, Flora Vincent.
- Genre : Essai/Revue
- ISBN : 979-1097042288
- Nombre de pages : 256
- Format : 15,5 x 22 cm
- Prix : 18 €
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