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  • De la démocratie en Suisse sur TikTok

    @soniabressler #fyp #pourtoi #democracy #tiktok #tiktokacademy you don’t have to be a big corporation to start democracy #beyou #analysedudiscours #livre ♬ BORN FOR THIS - Foxxi

  • Nathalie BASTIANELLI la Chine et le Climat

     

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  • La revue Dialogue Chine-France aux JO de Beijing 2022

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    Les équipes de la revue Dialogue Chine-France sont en direct des Jeux Olympiques d'hiver, pour suivre leurs informations, cliquez sur l'image et découvrez leur page Facebook !

  • L'or pour la Chine et l'argent pour la France

    Aujourd'hui, #GuAiling a remporté la médaille d'or dans la finale de l'épreuve féminine de Big Air.

    La française Tess Ledeux est vice-championne Olympique !  #Beijing2022

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  • Découvrez Guillaume Millo dans la revue Dialogue

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    La COP26 vient de se terminer. Une nouvelle fois, l’humanité doit affronter une multitude de défis pour limiter la hausse des températures et protéger la biodiversité de notre planète. 

    Parmi les secteurs jouant un rôle clé dans la crise du réchauffement climatique, la construction est au premier plan. De nos jours, 10 % des rejets de gaz à effet de serre sont directement liés à la fabrication du béton et de l’acier, principaux matériaux utilisés pour la construction neuve. 

    En 2021, nous sommes 7,8 milliards d’êtres humains sur Terre et certaines prévisions annoncent que nous atteindrons un pic de 11 milliards à l’horizon 2060. La pression sur les besoins en logements, en infrastructures et en énergie va s’accroître de façon exponentielle dans les prochaines décennies. Notre génération de constructeurs doit donc créer des ruptures technologiques dans les filières de fabrication des matériaux de construction et dans la manière de bâtir. 

    Je porte un regard différent sur la situation. 

    Je poursuis la mission de promouvoir la réhabilitation de bâtiments pour protéger les ressources de la planète, tout en transmettant le patrimoine mondial aux générations futures. 

    La réhabilitation des bâtiments contient deux enjeux majeurs. 

    Premièrement, j’ai pris conscience que la réhabilitation avait un rôle à jouer dans le défi immense qu’est la crise du réchauffement climatique. L’humanité a fondé l’économie de notre civilisation sur une logique d’extraction des ressources de la planète. Nous créons des biens et de l’énergie indispensables au fonctionnement de nos sociétés. Aujourd’hui, il est reconnu que cette activité globale augmente progressivement les températures à la surface de la Terre. Par exemple, sur la durée de vie totale d’un bâtiment neuf, 70 % des gaz à effet de serre sont rejetés au moment de sa construction. La réhabilitation est donc plus vertueuse. Nous utilisons un ouvrage déjà existant. Nous limitons l’impact sur la planète. Nous passons d’une logique d’extraction des ressources à une logique de recyclage. 

     

    Cliquez-ici pour lire la suite sur le site de la revue Dialogue

  • Découvrez l'article de Nathalie Bastianelli dans la revue Dialogue

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    Des citoyens chinois s’engagent pour la planète. Qui sont-ils ? Très inquiets pour leur santé et celle de leurs enfants, des Chinois de la société civile se sont mis à développer « une conscience verte » de plus en plus affirmée. Dans cet ­ouvrage, Nathalie Bastianelli raconte leurs parcours et les décisions politiques qui les accompagnent. Si la Chine verdit, cela impacte le mode de vie de 1,4 milliard de personnes. Autrement dit, si elle réussit sa mue écologique, les effets d’échelle seront tels que cela donne un espoir nouveau pour l’avenir de notre planète. Ce livre offre un point de vue inédit sur la contribution des Chinois à la relève du défi écologique mondial.

    Pour découvrir le livre de Nathalie BASTIANELLI, cliquez ici ! 

  • Comprendre les enjeux climatiques en une infographie, merci Dialogue !

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  • Aujourd'hui ouverture des JO avec la Revue Dialogue Chine-France

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  • Dialogue n°9 : ensemble, protégeons la biodiversité

    Chine, Europe, diversité, France, climat, environnement, cop25La Chine, l’un des pays les plus diversifiés au monde du point de vue biologique, a fait partie des premières nations à adhérer à la Convention sur la diversité biologique. Ces dernières années, les efforts et les réalisations de la Chine en matière de protection de la biodiversité ont été reconnus de tous. Si nous résumons l’expérience de la Chine à cet égard, nous devons mentionner son innovation dans les méthodes de protection, en plus de la haute attention accordée par le gouvernement à ce sujet et de l’implication de toute la société.

    En effet, la Chine a proposé et établi le système de ligne rouge écologique. Depuis le mois de novembre 2015, moment où la Chine a créé des projets pilotes de contrôle liés à la ligne rouge écologique dans cinq régions (les provinces du Jiangsu, de Hainan et du Hubei, la municipalité de Chongqing et Shenyang), environ 25 % de la superficie terrestre nationale est délimitée de manière préliminaire par cette ligne rouge. Fin 2019, la superficie totale des diverses réserves naturelles représentait 18 % de la superficie terrestre de l’État, ce qui signifie que la Chine a atteint plus tôt que prévu les Objectifs d’Aichi : protéger aumoins 17 % des zones terrestres et des eaux intérieures et 10 % des zones côtières et marines avant 2020.

    Plus précisément, la ligne rouge écologique de la Chine concerne trois parties : les régions très riches en biodiversité, les régions dont l’environnement écologique est sensible et fragile, ainsi que les régions ayant une fonction écologique importante. Toutes les réserves naturelles et tous les parcs nationaux sont inclus dans le champ de la ligne rouge écologique ; les activités d’urbanisation et d’industrialisation à grande échelle y sont restreintes.

    À court terme, la restriction des activités d’urbanisation et d’industrialisation à grande échelle dans la ligne rouge écologique pourrait sacrifier certains avantages du développement, mais l’État et les gouvernements régionaux réguleront les revenus des populations concernées (agriculteurs ou éleveurs) par le mécanisme de compensation écologique, en tenant compte de leurs besoins d’existence et de développement, afin de parvenir à un développement durable dans une perspective à long terme.

    Le système de la ligne rouge écologique expose au monde un nouveau modèle de protection. Selon Erik Solheim, ancien directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement, il s’agit d’un système immense et important, qui a un énorme potentiel pour aider le monde à résoudre les questions liées à la coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature. " Lu Rucai

     

    Ont participé à ce numéroELIZABETH MARUMA MREMA (secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique), CUI SHUHONG (directeur du Département de la protection écologique naturelle relevant du ministère chinois de l’Écologie et de l’Environnement), HU YUE  (journaliste à La Chine au présent), ZOU YUEYU (chef de section adjoint de la division de la biodiversité du Centre de coopération environnementale au ministère de l’Écologie et de l’Environnement), ÉLISABETH MARTENS (biologiste spécialisée en médecine chinoise et rédactrice en chef de Chine-ecologie.org), DUAN YI et WANG DAN(journalistes au Quotidien du Yunnan), XU ZIHAN (rédacteur en chef adjoint des Éditions pédagogiques du Yunnan), LI MAOBIAO (professeur agrégé, Institut de la biodiversité au Yunnan de l’Université forestière du Sud-Ouest), YANG YUMING (professeur à l’Académie des sciences des forêts et des prairies du Yunnan), SAMIR MEZDOUR (chercheur à AgroParisTech), LI NAN (directrice du projet de promotion de la Convention sur la diversité biologique au Bureau de représentation du WWF à Beijing), GE LE (chercheur auprès de The Nature Conservancy (TNC)), MA LI (journaliste à La Chine au présent), GAO FUHUA (journaliste au Quotidien de Ya’an), LIU YIXUAN (journaliste à La Chine au présent), YUAN HUI (journaliste à China Daily) ,LIAO BAOLIN (ingénieur en chef en protection de l’environnement marin à l’Institut de recherche de Shenzhen (Université océanique du Guangdong)), MARION CANALE et SOLENA CANALE PAROLA (créatrices de Cearitis).

  • Dialogue n°8 : L’île de Gulangyu, une coexistence pacifique des cultures

    Chie, France, culture, UNESCO, L’île de GulangyuDu 16 au 31 juillet 2021, la 44e session du Comité du patrimoine mondial se tiendra en ligne à Fuzhou (Fujian). La Chine a adhéré à la Convention de l’UNESCO pour la protection du patrimoine mondial culturel et naturel en 1985. Depuis 1987, on compte en Chine au total 55 biens inscrits (au premier rang mondial), dont 37 sont des biens culturels, 14, des biens naturels, et 4, des biens mixtes. Dans le cadre de la Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel, la Chine a amélioré sa réglementation sur la protection du patrimoine mondial. Chaque site a publié des règlements et promulgué des mesures de protection adaptées.

    Prenons l’exemple du 52e bien inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de la Chine : « Gulangyu: communauté internationale et historique ». Xiamen a procédé à la révision de la législation locale, à l’amélioration des normes de rénovation, et a mis en place des procédures d’approbation strictes et des plans de protection. Un système de protection et de gestion complet a ainsi été établi pour assurer le développement durable du patrimoine historique.

    Afin de mieux promouvoir les échanges et le dialogue entre la Chine et la France, plus d’une dizaine de personnalités des deux pays ont discuté fin avril sur la protection, la transmission et la valorisation du patrimoine de l’île de Gulangyu. Des experts dans la protection architecturale ont mené un dialogue en ligne sur la façon de restaurer et de transmettre du patrimoine, de rénover les bâtiments historiques et de renforcer le niveau de protection numérique, et prodigué des conseils et des suggestions. Ils ont également encouragé le partage d’idées et les échanges d’expériences entre la Chine et la France dans la protection du patrimoine architectural.

    La Chine s’est engagée à améliorer son niveau de protection et de gestion des biens du patrimoine mondial et à renforcer les échanges et la coopération au niveau international, notamment en coopérant avec l’UNESCO pour créer le Centre de formation et de recherche sur le patrimoine mondial Asie-Pacifique et le Centre de technologie spatiale pour le patrimoine naturel et culturel (HIST). Des initiatives vivement saluées par la communauté internationale.

    Comme l’a dit l’ancien premier ministre français Jean-Pierre Raffarin dans son discours en ligne lors du forum « L’apprentissage mutuel entre les civilisations chinoise et française : la protection, la transmission et la valorisation de l’île de Gulangyu », l’amitié franco-chinoise est avant tout une amitié culturelle, et le respect mutuel entre deux civilisations anciennes est un trésor pour l’amitié entre les deux pays. La coopération internationale est nécessaire et les initiatives favorables au développement des relations amicales à travers la protection du patrimoine et les échanges culturels sont à saluer.

    Lu Rucai