La Route de la Soie - Éditions - Page 24
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Les Echos : La Chine à la conquête du commerce mondial (les nouvelles routes de la soie)
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Podcast : l'Astrologie, ça marche !... Trop.
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Maxime Vivas
Né en Aveyron, fils d’immigrés espagnols, père ouvrier, mère au foyer (six enfants), ex-postier (trieur de lettres), ex-cadre de France Télécom, ex-ergonome européen®, père de trois enfants. Divorcé, union libre.
Après avoir vécu 20 ans à Paris, installation dans les collines du sud de Toulouse avec la chaîne des Pyrénées pour horizon.
Figure dans le « Dictionnaire de Toulouse » et dans le « Dictionnaire des littératures policières » mondiales (sous la direction de Claude Mesplède).
Il est écrivain, essayiste et cyber-journaliste français. Plus sur son parcours, en regardant sa page Wikipedia.
Il est animateur radio à Toulouse et administrateur du site d’information alternative legrandsoir.info.
Bibliographie :
- 1997 « Paris brune », roman, récompensé par le prix Roger Vailland. Editions le Temps des Cerises.
- 1998 « La bousculade », roman. Editions de l’Aube.
- 1999 « Ecran total », polar, sélectionné par les jurys de trois prix littéraires. Éditions Jigal.
- 2002 « La cathédrale au fond du jardin » (ou « Pourquoi j’ai voulu tuer Louis-Ferdinand Céline »), polar historique, prix du Zinc (attribué par des lecteurs, salon du livre de Montmorillon sous l'égide de Régine Deforges). Atout Editions.
- 2003 « Comme le scorpion, mon frère », polar altermondialiste.
- 2005 « Les Etats-Unis, De mal empire », essai, avec D. Bleitrach et V. Dedaj. Editions Aden. Traduit en espagnol (Cuba) sous le titre : « Estados Unidos o el imperio de mal en peor ».
- 2005 « La tour Eiffel et le cocotier », roman, humour. Editions le Léopard Masqué. Réédité sous le titre « Paris, terre d’asile ». Figure dans « L’humour pour les nuls » (First éditions) au titre d’un « des 10 romans les plus drôles de la littérature ».
- 2007 « La face cachée de Reporters sans frontières. De la CIA aux faucons du pentagone », enquête sélectionnée par 17 médias pour le prix 2008 « Lire la politique ». Editions Aden. Traduit en espagnol et publié au Venezuela (2007) sous le titre « La otra cara de Reporteros sin frone la CIA a los halcones del Pentágono ». Editions El perro y la Rana.
- 2008 « Chroniques littéraires et impertinentes sur Radio Mon Païs ». Editions La Brochure.
- 2009 « Victor Hugo à La Havane », ou deux siècles d’influence française à Cuba ». Editions La Brochure.
- 2010 « Chicharra et les vautours », roman jeunesse. Editions Le Griffon bleu.
- 2011 « 200 citations pour comprendre le monde passé, présent et à venir », en collaboration avec Viktor Dedaj. Editions La Brochure. Préface de Jean-Luc Mélenchon.
- 2011 « Le dalaï-lama, pas si zen », essai. Editions Max Milo (Paris), éditions Long River Press (San Francisco), éditions CNHK (Hong-Kong) et éditions Novita editoriali, (Italie). Traduit en anglais (USA), chinois (mandarin et tibétain), allemand, espagnol, italien.
- 2013 « Le Gueuloir », roman. Editions Le Léopard Démasqué.
- 2013 : « L’irrésistible déchéance de Robert Ménard, candidat du Front national, » Editions Arcane 17.
- 2014 « Marine Le Pen amène le pire » avec Frédéric Vivas. Editions Golias.
- 2015 « Rouges les collines de Caracas », polar. Editions Arcane
- 2016 « Les déchirures » essai. Editions Golias. Préface de Paul Ariès.
- 2019 « La rue était noire de jaune » Collectif. (recueil de 500 slogans, tags, affiches des gilets jaunes) .Editions du Croquant. Préface de Jean-Luc Mélenchon.
Initiateur de deux recueils de nouvelles (collectifs) :
- « Toulouse, sang pour sang. Editions du Corbeau ». (« Dessine-moi un taureau »).
- « AZF. Toulouse sang dessus dessous ». Editions Loubatières. (au profit des sinistrés). « Opération « Justice ô mon amour ».
Participation à d'autres recueils de nouvelles (collectifs) :
- «Le no future des serial kid killers ». 13 nouvelles noires pour un autre futur ». Editions de la CNT.
- « L’école des coups bas ». L’Ours polar N° 13 .
- « La chute de Papadhópoulos ». 36 nouvelles noires pour l’Humanité. Editions Hors Commerce.
- « La déviergination ». Nouvelles érotiques. Editions Le Temps des Cerises.
- « La mobylette bleue ». Les mondes d'après. Editions Golias.
- « Et le Falcon fut foudroyé ». La Revue du projet.
- « Pêche à la Daurade ». Ligne Noire N° 17/18.
- « L’ange noir ». CCAS Infos.
- « Auto stop ». Polars & CO. Salon de Cognac.
- « Comment je suis tombé amoureux d’Isabelle Adjani dans un autobus de Béziers ». Les 13 meilleures façons de faire faillite. Editions Du fil à retordre.
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Podcast : une vie en anthroposophie
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Fan Zhang - 张帆
Fan Zhang est chinoise. Elle est née (en 1989) à Jiaxing, une ville de la province de Zhejiang.
Depuis l’enfance, elle a une passion pour le dessin. Elle aime regarder les détails. Elle s’interroge sur chaque élément de notre quotidien.
Elle a passé une licence d’Arts plastiques à Hangzhou, puis elle est venue à Paris pour obtenir un master 1 en marché de l’art à l’EAC.
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Brut : Nouvelle "route de la soie" : tensions entre l'Europe et la Chine
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Xi Jinping à Paris, l’Europe cherche une position commune
Après avoir signé un mémorandum d’entente avec le premier ministre italien, le président chinois Xi Jinping s’est rendu en France, où il a pu s’entretenir avec le président français.
Signature de contrats
Lors de cette rencontre, de nombreux contrats on été signés entre des entreprises chinoises et françaises. Ainsi, a été officialisée la vente de près de 300 avions par Airbus au groupe chinois « China Aviation Supplies Holding Company ». Le transporteur français CMA CGM va pour sa part acheter 10 porte-conteneurs à « China State Shipbuilding Corporation ». Ces opérations témoignent de la confiance des entreprises dans le développement des transports dans le monde.
D’autres contrats concernent spécifiquement le développement durable, mais aussi la finance.
Renforcer le dialogue Chine-Europe
Contrairement à l’Italie, la France n’a pas formellement rejoint l’initiative « Belt and Road », malgré l’intérêt très fort des entreprises et décideurs français pour ce projet. Pour Jean-Pierre Raffarin, ancien premier ministre, la visite de Xi Jinping devrait être un nouveau départ des relations franco-chinoises.
Le président français cherche à créer une position européenne commune face au projet chinois. Il a ainsi invité Jean-Claude Juncker, président de la Commission et Angela Merkel pour une discussion avec Xi Jinping le 26 mars. Cette rencontre a été l’occasion de remettre les choses à plat entre la Chine et ses partenaires européens.
Pour Macron, « le choix de l’évidence et de la raison au 21e siècle est dans un partenariat eurochinois fort, défini sur des bases claires, exigeantes et ambitieuses ».
L’Europe reste méfiante face au projet des nouvelles routes de la Soie, et espèrent une plus forte ouverture du marché chinois pour ses entreprises. Cependant, malgré ces craintes, le dialogue Chine-Europe progresse comme en témoigne le prochain sommet UE-Chine qui se tiendra à Bruxelles le 9 avril prochain.
L’Europe n’est pas hostile aux investissements chinois sur le continent, et conduit sa propre politique en dehors de l’influence américaine concernant la Chine. La Commission européenne vient ainsi d’autoriser les entreprises chinoises, dont Huawei, à s’implanter dans le marché de la 5G en Europe.
Après avoir signé un mémorandum d’entente avec le premier ministre italien, le président chinois Xi Jinping s’est rendu en France, où il a pu s’entretenir avec le président français.
Signature de contrats
Lors de cette rencontre, de nombreux contrats on été signés entre des entreprises chinoises et françaises. Ainsi, a été officialisée la vente de près de 300 avions par Airbus au groupe chinois « China Aviation Supplies Holding Company ». Le transporteur français CMA CGM va pour sa part acheter 10 porte-conteneurs à « China State Shipbuilding Corporation ». Ces opérations témoignent de la confiance des entreprises dans le développement des transports dans le monde.
D’autres contrats concernent spécifiquement le développement durable, mais aussi la finance.
Renforcer le dialogue Chine-Europe
Contrairement à l’Italie, la France n’a pas formellement rejoint l’initiative « Belt and Road », malgré l’intérêt très fort des entreprises et décideurs français pour ce projet. Pour Jean-Pierre Raffarin, ancien premier ministre, la visite de Xi Jinping devrait être un nouveau départ des relations franco-chinoises.
Le président français cherche à créer une position européenne commune face au projet chinois. Il a ainsi invité Jean-Claude Juncker, président de la Commission et Angela Merkel pour une discussion avec Xi Jinping le 26 mars. Cette rencontre a été l’occasion de remettre les choses à plat entre la Chine et ses partenaires européens.
Pour Macron, « le choix de l’évidence et de la raison au 21e siècle est dans un partenariat eurochinois fort, défini sur des bases claires, exigeantes et ambitieuses ».
L’Europe reste méfiante face au projet des nouvelles routes de la Soie, et espèrent une plus forte ouverture du marché chinois pour ses entreprises. Cependant, malgré ces craintes, le dialogue Chine-Europe progresse comme en témoigne le prochain sommet UE-Chine qui se tiendra à Bruxelles le 9 avril prochain.
L’Europe n’est pas hostile aux investissements chinois sur le continent, et conduit sa propre politique en dehors de l’influence américaine concernant la Chine. La Commission européenne vient ainsi d’autoriser les entreprises chinoises, dont Huawei, à s’implanter dans le marché de la 5G en Europe.
Créer un projet européen
Le plus important maintenant pour l’Europe est de créer un projet commun pour répondre à l’invitation chinoise de rejoindre la BRI. Les membres de l’Union doivent chercher à définir leurs priorités et à créer des synergies entre eux pour que d’une part le marché européen devienne attractif pour les investisseurs chinois, et pour que deuxièmement, la Chine voie dans l’Europe un partenaire capable de définir des objectifs à long terme.
Plus que jamais, la Chine et l’Europe peuvent ensemble construire la BRI.
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Pascal Boniface: les Etats-Unis, un danger stratégique pour la planète
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La BRI à la Conférence sur la sécurité de Munich
Du 15 au 17 février 2019, s’est déroulée la 55e conférence sur la sécurité de Munich. Cet évènement est devenu au fil des ans un lieu de rencontre immanquable pour les leaders du monde entier qui peuvent y débattre des enjeux globaux de sécurité et de défense. Si historiquement, étaient discutées en priorité les relations américano-européennes, ce format s’est ouvert aux grandes puissances. La Chine et le Russie sont des intervenants majeurs de cet évènement, et cette année ces deux pays ont été au centre des discussions.
Un multilatéralisme partagé par la Chine et l’Europe
On peut retenir de cette rencontre, que malgré certaines tensions notamment concernant les géants des nouvelles technologies comme Huawei, la Chine et l’Union Européenne présentent des positions très proches dans leur promotion du multilatéralisme. Les deux régions ont appelé à renforcer le dialogue pour résoudre les tensions internationales.
Ainsi par exemple, sur le dossier iranien, la France et l’Allemagne, comme la Chine, veulent continuer à commercer avec l’Iran et ainsi préserver l’accord sur le nucléaire iranien malgré la politique américaine. L’Iran, quant à elle pourrait bientôt rejoindre la BRI comme le suppose la visite à Beijing du président de l’assemblée parlementaire iranienne Ali Larijani le 19 février 2019.
L’initiative « Belt and Road »
Yang Jiechi, membre du PolitBuro a mentionné la BRI dans son discours et a informé que la Chine allait continuer à ouvrir son économie aux investisseurs étrangers ; ce qui a rassuré le ministre allemand des affaires étrangères Heiko Maas qui a proposé une coopération accrue entre l’Europe et la Chine y compris dans le cadre de la BRI.
Comme annoncé en janvier 2019, la chancelière allemande espère organiser un nouveau sommet Chine-Europe en 2020 durant la présidence allemande de l’Union Européenne, pour d’une part mettre à plat les différents entre les deux régions et aussi donner un nouveau souffle aux relations sino-européennes.
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Diplômées 266-267 : Femmes & Géopolitique(s)
La Revue Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université. Revue scientifique à comité de rédaction, elle a pour vocation de promouvoir la recherche et la visibilité des femmes chercheuses en Europe. D’inspiration généraliste et interdisciplinaire, libre à l’égard de toute école de pensée et des modes intellectuelles. Sa périodicité est de quatre numéros par an, elle accueille ainsi des textes théoriques et de recherches.
Dans ce numéro, nous avons souhaité interroger la thématique "femmes et géopolitique(s)". Quels sont leurs liens ? Là, nous pourrions très rapidement nous entendre dire que les femmes (en tant que nombre) font partie des variables des stratégies géopolitiques Combien sont-elles ? Manquons-nous de femmes ?
Pourrions-nous dire si, à l’échelle planétaire ou d’un pays, les femmes sont désirantes (avec la variable du nombre d’enfants par femmes) ? Les femmes ont été pendant des siècles considérées comme des variables d’ajustement, c’est ce que l’archéologue et préhistorienne Marija Gimbutas a démontré dans ses travaux.
En mettant en avant que l’emprise du discours masculin sur les sciences humaines avait considérablement orienté notre construction mentale et sociétale. Il nous faut donc aborder le lien entre les femmes et les géopolitiques de façon plus ouverte, plus holistique sans doute. Vous l’aurez remarqué, nous ne parlons pas d’une « géopolitique » unique. C’est impossible mais bien de géopolitique(s) plurielles. Il y a, en effet, autant de territoires que d’êtres humains.
Ont participé à ce numéro : Sylvie Aguire, Jacqueline Andoche, Jean Michel Belorgey, Sonia Bressler, Yvette Cagan, Anne-Sophie Coppin, Simonella Tanguy -Domingos, Angelina Durand-Vallot, Renée Gérard, Béatrice Giblin, Carole Gomez, Marie-Claire Hamard, Martine Lévy, Sylvie Matelly, Claude Mesmin, Anne Nègre, Mélanie Place-Mezzapesa, Francine Rosenbaum
- Genre : Essai/Revue
- ISBN : 979-1097042202
- Nombre de pages : 252
- Format : 15,5 x 22 cm
- Prix : 18 €
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