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La Presse en parle - Page 5

  • Michel Piriou intègre l'Académie des gens de mer

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    La mer est le pays d’inspiration de Michel PIRIOU, par elle, il va à la rencontre du Monde. Avec ses romans, il parcourt les océans à bord de navires d’exception. Il a passé de cette manière le Cap de Bonne Espérance plusieurs fois. Il a raconté ainsi moult ports et petites îles de l’Histoire.

    Son curriculum est multiple car il a consacré son travail à différentes disciplines et à la recherche-action en pédagogie. L’éducation qu’il dit avoir reçue de ses parents et de ses maîtres à l’école et au lycée, l’a amené à faire de la connaissance le sens de son existence. Le savoir donc comme principe qui l’a mené naturellement à une carrière croisée d’étudiant et d’enseignant.

    Carrière d’étudiant parce qu’il a toujours été inscrit à l’université, mathématiques, sciences de l’éducation, astrophysique, … Les derniers cours qu’il a suivis, bien après le passage de la cinquantaine, parlaient de géologie planétaire.

    Carrière d’enseignant parce qu’il a exercé depuis la petite école jusqu’à l’université. La connaissance donc comme une règle de vie et c’est à ce titre qu’il a formé des enseignants à l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Bretagne. Il s’est consacré à l’apprentissage de la lecture. Il a animé des recherches-actions sur ces questions en approfondissant la nature du langage écrit et de la littérature. Ce fut l’objet de sa responsabilité à la direction du comité de rédaction de la revue Les Actes de Lecture. Il s’est spécialisé aussi dans l’élaboration de Politiques Territoriales de la Lecture en Belgique. À présent, il donne des conférences sur la nature du langage écrit et sur les travaux en Histoire maritime qui alimentent ses romans.

    Tout en conduisant une carrière de 40 ans en tant qu’enseignant et éditorialiste pédagogique, il a produit des textes poétiques, un travail d’écriture de théâtre alors qu’il dirigeait la troupe de la Compagnie les Uns et les Autres. Il se consacre désormais au roman historique maritime. Depuis juillet 2019, il fait parti d’une maison d’édition parisienne qui consacre ses publications au lien entre la France et la Chine. La route de la soie Éditions réunit des écrivains, des philosophes et des sociologues de ces deux pays. Le dernier roman de Michel PIRIOU parle de ces hommes d’exception de la compagnie des Indes qui cherchaient à renforcer l’alternative de la route de la soie par la mer. Il a également écrit quelques essais de sociologie de la lecture ainsi que de nombreux articles, critiques et éditoriaux.

  • Crypto-Yuan sur Chine-Info.com

    pascal ordonneau, crypto-yuan, économie, la route de la soie - éditions, livres, essai, monnaie,

    Par Shanshan Zhu

    Dans l’univers des monnaies cryptées, une nouvelle compétition vient de s’engager et la Chine vient d’en prendre la tête. Elle entend devenir la première nation à lancer la première monnaie cryptée souveraine du monde. Après l’explosion des monnaies cryptées, dites libres et anonymes, s’imposent, les uns après les autres, ces projets de monnaies cryptées d’un nouveau genre : les monnaies cryptées souveraines. Elles ont déjà un acronyme : CBDC (central banks digital currency).

    « Ce livre n'est pas un essai sur le crypto-yuan au sens strict du terme car on n’en sait pas encore grand-chose sur cette monnaie souveraine », avertit l’auteur dès la première page.

    Le livre se veut une réflexion sur les monnaies cryptées souveraines versus les monnaies cryptées privées, à l'occasion des questions qui concernent le crypto-yuan dans le contexte de l’incroyable développement technologique et scientifique de l’économie chinoise. L’ouvrage va rappeler les « basiques » sur les crypto-monnaies et expliquer notamment en quoi elles diffèrent de la monnaie cryptée telle que le bitcoin.

    Pascal Ordonneau, ancien banquier aujourd'hui secrétaire général de l'Institut Iconomie, met en place les questions que posent la création d'une monnaie souveraine par un pays. Jusqu'à présent les monnaies cryptées sont soit "indépendantes", soit liées à une entreprise comme le Libra avec Facebook. En une dizaine de chapitres, il offre au lecteur non averti les bases de compréhension de ce qu'est une monnaie cryptée et de l'enjeu que cela représente pour la Chine de créer cette nouvelle monnaie.

    La question éthique sera abordée dans la mesure où la protection des données privées est « un enjeu sociétal dans les pays libéraux qui peinent à la mettre en place, et à empêcher des opérateurs privés de s'en emparer et d’en tirer profit. On comprendra dans ces conditions que jeter l'anathème sur la Chine au nom des libertés publiques est quelque peu étrange, quand les libertés privées sont galvaudées dans les pays dits "libres" », écrit Pascal Ordonneau.

    Pascal Ordonneau, ancien banquier, passionné par les questions économiques et monétaires, a écrit de nombreux livres, articles et chroniques dont deux ouvrages sur les nouvelles monnaies cryptées, la blockchain et les Initial coins offerings. Il a participé aux études lancées par l’Institut de l’Iconomie sur l’Intelligence artificielle et le projet de monnaie, la Libra, initié par le créateur de Facebook.

  • Jardin(s) de Francis Denis, dans la RAL,M

    Retour à la RALM

    Revue d'Art et de Littérature, Musique

     

    Éditions La Route de la Soie

    Gens pas simples

     

    Francis Denis publie chez La Route de la soie un bref volume dans lequel le lecteur sera sans doute invité à réfléchir sur le parallèle de ces deux récits :

    Jardin(s) — C’est le récit laconique que nous fait un assassin de ses crimes aux mobiles somme toute assez dérisoires. Il présente sa narration en actes successifs qui n’aboutissent en rien à des considérations judiciaires. L’ironie s’habille non pas de simplicité, mais d’un langage qui appartient sans doute au psychopathe capable d’amour, certes, mais de peu d’empathie, ce qui le conduit aussi bien à s’évertuer à plaire à ses voisins qu’à décontenancer un supposé psychologue dont le visage demeurera à jamais inconnu. L’endroit (le livre) n’est pas confortable, mais on y entre tout de même et il n’est pas sûr qu’on en sorte.

    La femme trouée — Tout aussi brève, mais non point lapidaire, l’histoire de ces deux femmes, mère et fille, relève à la fois de la réalité la plus ordinaire et du rêve qui fricote avec le désir de miracle. L’enfermement de Marguerite, depuis un dur évènement à l’âge de huit ans, n’est pas aussi vide de sens qu’il y paraît au premier abord. Son esprit, d’abord envisagé de l’extérieur par les yeux de sa mère, qui ne diffère pas des yeux des autres, est soudain propulsé dans cet extérieur comme une suite de miracles ou en tout cas de bonheurs si bien mérités qu’on finit par y croire. Pourtant, ce n’est pas ainsi que s’achève cet étonnant récit.

    Le lecteur amateur des choses de la vie appréciera sans réserve ces fruits de l’observation et le style mis en œuvre par un auteur qui a depuis longtemps fait ses preuves en matière de fiction réaliste.

    Patrick Cintas

     

  • Jardins de Francis Denis dans Critique Libre

    francis denis, critique libre, la route de la soie - éditions

    Critiqué par Débézed, le 1 juin 2020 (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 73 ans)

    Déchirant !

    Ce recueil comporte deux longues nouvelles, ou deux courts romans, ou un court roman et une longue nouvelle mais peu importe le contenant, il nous restera toujours l’émotion dégagée par ces deux textes pathétiques, tragiques, poignants… Des histoires qui auraient pu figurer dans Les désemparés un précédent recueil de Francis Denis.

    Jardins(s)

    Un quadragénaire vivant seul avec son animal de compagnie éprouve les affres d’une profonde solitude, il se sent ignoré et même rejeté par son voisinage, il a l’impression de ne pas exister pour les autres, il est insignifiant. Pour se faire remarquer, pour exister, il décide de construire dans son étroit jardin, une piscine particulière qu’il ouvre aux enfants du quartier. Il est alors beaucoup mieux considéré, les voisins le saluent, il est un personnage du quartier, il existe. Mais il lui faut payer les travaux de construction de cette piscine et le maçon le fait chanter au sujet de certaines formalités administratives qui n’ont pas été respectées. Le maçon subit ce que risquent tous les maîtres chanteurs et les malheurs du pauvre bougre recommencent. Il espérait construire une vie nouvelle avec la belle Clotilde mais son forfait, bien qu’ignoré de tous, risquent de remettre en cause tous ces beaux projets.

    Le drame de la solitude, de ceux qui, comme ce garçon, ont été transbahutés de foyers en familles d’accueil, ne s’installant jamais réellement dans la vie, restant à tout jamais des déracinés, des apatrides de la société. Le déchirement aussi de la culpabilité qui condamne plus sévèrement que les tribunaux.

    La femme trouée

    L’histoire d’une fille qui raconte une l’histoire qu’elle aurait peu avoir mais qu’elle n’a pas eue. Enfant, Marguerite a fait une très grosse bêtise, elle a allumé un incendie en jouant avec les enfants des maîtres de sa mère. Elle s’en est sortie mais les deux autres enfants ont péri dans les flammes. Après une longue hospitalisation, elle a pu reprendre une vie indépendante avec sa mère qui a consacré toute son existence à cette enfant muette et handicapée. Son amour pour sa fille est sa seule raison de vivre et, quand elle décède, Marguerite écrit l’histoire qu’elle aurait pu avoir si sa mère ne l’avait pas étouffée de son amour. C’est bouleversant !

    Francis Denis écrit ces textes dans une langue simple, précise, épurée, fluide, élégante, très agréable à lire même s’il raconte des histoires déchirantes. Cette écriture permet de lire ces textes bouleversants avec moins de douleur.

  • Jardin(s) de Francis Denis, dans Les Plaisirs de Marc Page

    francis denis,

    «  Le poids du bonheur à venir l’emportera-t-il sur celui de la honte et des regrets ?

    Telle est la question jaillissant de la première nouvelle intitulée « Jardin(s) »  proposée par Francis Denis.

    Un des jardins secrets hanté par quelques feux follets, leurs lueurs, ou par les ombres projetées ???

    En quelques actes, le remords, les angoisses  d’un homme se mueront en un étau infernal. Seule la rencontre d’une jeune femme pourrait interrompre la descente aux enfers.

    Ce n’est plus qu’un enfant perdu, meurtri, qui s’abandonne sans honte et tout entier…   

    Lui qui rêvait déjà tout jeune de pouvoir un jour  se retrouver sur les planches. Une façon comme une autre d’échapper à son destin et de dire aux autres : vous voyez, là, c’est moi.

    Seulement, tous les contes de fées n’ont pas la même fin et celui-ci a toutes les chances de finir tragiquement.

    Une seconde nouvelle  « La femme trouée » remuera le terreau où ont été semés tant de souvenirs.  Mais les souvenirs, ça se cultive. Comme les légumes dans le potager, il faut en prendre soin, leur parler, apaiser leur soif, leur murmurer des mots gentils ou encore leur chantonner tout en remuant la terre tout autour pour qu’ils puissent respirer et s’épanouir en toute tranquillité.

    Mais il y a souvent une certaine gêne à s’immiscer dans la vie privée de l’autre, surtout quand la porte est close.

    *

    « Préfacer, postfacer, nous préférons passer, glisser, nous « effacer », comme les personnages si attachants et tristement oubliés de Francis Denis.
    Rêveurs et acharnés, pitoyables démons venant gratter les portes de nos cerveaux-greniers.
    Tant de tendresse inaboutie ! Combien de crimes n’avons-nous pas commis au nom d’impossibles amours ? Combien de rêves avons-nous faits brouillant les cartes du réel ? Vagabonds de l’esprit…
    Mais que sommes-nous d’autre ? Connus ou inconnus, encensés ou méprisés, nous ne sommes que des naufragés sans boussole. Les uns bien à l’abri, dans le carré des officiers, exhibant un galon dans un galion à la dérive, les autres nus et solitaires, sur des radeaux de déraison.
    Où nous allons, nul n’en sait rien.
    Mais peut-être à la fin il n’y a que nos songes, accostant sans fanfare, sur les terres astrales, aurores boréales de Mondes inventés. « 

    Préface signée Alain Cadéo

     
  • Jardin(s) de Francis Denis, dans l'Indépendant

    francis denis, jardins, la route de la soie - éditions

    Lecture de Jardin(s), signé Francis Denis par Guillaume Rose

     

    Francis Denis nous revient avec un nouvel ouvrage qui vient de sortir aux éditions La route de la Soie. Il dépeint deux histoires aux personnages poignants, drames teintés d’espoir et d’humanité.

     

    René est seul. Et sa solitude, il la noie dans son jardin, véritable vitrine de ce que la nature fait de plus joli à travers le monde. Très vite, le manque qui l’habite gagne son petit paradis, perdu entre quatre murs au pied des terrils. L’idée lui vient. Quitte à être seul, autant être unique. Et chacun sait que la curiosité attire le monde. Le voilà parti dans un projet insensé, construire une piscine verticale, qui attirera les voisins dans son intimité comme des abeilles dans un pot de miel. D’homme solitaire et renié, René devient l’ami que tout le monde doit avoir, et son jardin, l’endroit où il faut être.

  • Michel Piriou évoque son roman "Parfum d'or rouge" !


  • Francine Rosenbaum, dans Bon pour la Tête

     

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    Un article de Anna LiettiSortir du traumatisme pour ne pas mourir ou alors pour ne pas tout casser: du point de vue de l'adolescent migrant, tel est souvent l’enjeu de la survie psychique. Comment l’aider? L’ethnoclinicienne Francine Rosenbaum répond en racontant sa rencontre avec un jeune Afghan: salvatrice pour lui, éclairante pour nous.

    C’est un livre minuscule et vite lu, mais qui marque comme une vraie rencontre. Francine Rosenbaum, orthophoniste, ethnoclinicienne spécialiste de la prise en charge des familles migrantes, après avoir déployé dans des ouvrages plus cossus sa parole forte sur l’éthique de l’accueil, y livre un concentré de son approche en racontant précisément une rencontre : celle avec un jeune afghan.

    Lire l'article en ligne : cliquez ici !

  • Michel Piriou évoque Anna Djorkaeff


  • L'Âge de Piastre dans Ouest France

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    Un article de Pierre Lann

    Après une carrière dans l’Éducation nationale, Michel Piriou vient de publier un roman historique dont l’intrigue prend forme dans le port de Lorient, au XVIIe siècle. Une histoire d’aventure qui embarque le lecteur sur le Blavet, un navire aux cales chargées de piastres, des pièces de monnaie espagnole, qui fait route vers la Chine.

    « Les archives de la Marine sont une mine d’or »

    Pour Michel Piriou, l’inspiration est venue d’un travail sur les archives de la Marine. Toute l’intrigue s’appuie sur des éléments historiques vérifiés. L’auteur s’est attelé à respecter les dates et les lieux pour veiller à ce qu’il n’y ait pas d’anachronismes. « Ces archives sont une mine d’or. Je me suis appuyé sur les livres qui étaient tenus à bord des navires, cela permet de suivre les voyages au plus près de ceux qui l’ont vécu », explique-t-il.

    L’idée de ce livre est née dans les années 1980, lorsque Michel Piriou était instituteur à l’école de Bois-du-Château. Pour intéresser les enfants à l’Histoire, il retrace avec eux les aventures des navires de la Compagnie des Indes. « Cela passionnait les enfants, nous faisions de la géographie, de l’histoire et des maths grâce à ces histoires », sourit-il.