La Presse en parle - Page 3
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Laurent Hassid sur France Inter
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Méta de Choc dans le Club Le Chatelier
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Méta de Choc dans le documentaire "le retour des sorciers" de Martin Weil
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Pascal Ordonneau sur Xerfi
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Isabelle Verneuile Verneuil sur France Bleue
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Serge Bret-Morel sur France3
Dans son ouvrage "L'astrologie ça marche!... trop, itinéraire d'une astrologue déchu", le lyonnais Serge Bret Morel, ancien astrologue, explique comment il en est arrivé à remettre totalement en question cette pratique. Une démarche critique sans concession sur les coulisses de cette profession.
Le débat est presque aussi vieux... que les étoiles. D'un côté, les accrocs à l'astro, qui attendent chaque matin leur horoscope, ou qui consultent régulièrement leur astrologue favori(te).. Et de l'autre, les cartésiens du réel, qui se moquent gentiment de ces prédictions venues des étoiles, qui n'ont pour eux... aucun sens.
Au milieu, on retrouve désormais Serge Bret-Morel, dont la particularité est d'être passé d'un monde à l'autre. Esprit plutôt cartésien, cet ancien enseignant en mathématiques, titulaire d'un master en histoire et philosophie des sciences, fut pourtant un fervent astrologue, au point de figurer parmi les membres du bureau de la Fédération des astrologues francophones. "L'astrologie accompagnait ma vie parallèlement à mes autres activités", raconte l'auteur, qui concède : "donc cartésien, oui, au sens populaire du terme".
Dans un livre "l'astrologie... ça marche trop! ", publié aux éditions de la Route de la soie, il dialogue avec Elisabeth Feytit et raconte son parcours, d'astrologue amateur à passionné... qui est devenu finalement l'un des plus critiques à l'égard de cette discipline : "Au départ, j'étais en fac de sciences, en maths et en physique à la Doua à Villeurbanne et c'est à cette période que j'ai commencé à monter des thèmes astraux. Je me suis interrogé sur moi et tous les gens autour de moi s'intéressaient à ce que je faisais." Assez vite, l'esprit critique prend davantage de place "Lorsque je suis passé en philosophie, j'ai commencé à prendre du recul sur ce que je faisais".
Une pratique... à l'opposé de toute démarche scientifique
Mais d'abord, comment définir l'astrologie ? "L'idée de la croyance astrologique, c'est de se dire que si les planètes sont à un endroit du ciel, à un moment donné, ce n'est pas par hasard... Donc, lorsque l'on applique ça à un individu, par exemple, la tradition a développé la thèse que le moment de naissance est important. Et donc que les positions des planètes à la naissance, vues de la Terre, permettraient de dire des choses sur la personne concernée, et voir son avenir. En tout cas, c'est ce qu'affirme l'astrologie." Une définition à laquelle notre ancien astrologue, pourtant scientifique, avait adhéré. "Au début, lorsqu'on s'intéresse à l'astrologie, on se penche très peu sur ses fondements. Il n'y a pas de lien entre la théorie et la pratique, comme pour la science par exemple. En sciences, on teste des hypothèses avec des protocoles rigoureux. Alors qu'en astrologie, cette démarche n'existe pas, en tout cas pas au sens rigoureux du terme."
Amateur, puis passionné, il décide de comprendre les coulisses de l'astrologie
Un astrologue répondra sans doute qu'il teste sa pratique quotidiennement, et avec succès. "Ce n'est pas la même chose. Un astrologue va lancer des interprétations, voir si cela parle à son client. Puis il va discuter avec lui, et lui donner, au final, des conseils à la fois un peu psychologiques et philosophiques. On est à l'opposé d'une démarche scientifique." Dans ce cas, comment a-t-il pu y participer ?"Moi, quand je suis tombé là-dedans, j'étais uniquement dans la pratique. J'ai monté mon thème de naissance et je me suis interrogé sur moi-même, et ensuite je faisais pareil avec les gens autour de moi. Cela intéresse toujours les gens."
.... Lire l'article complet sur le site de France3
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Serge Bret-Morel dans Le Figaro
Nouvel An, crise économique ou sanitaire, anniversaire, changement de vie… autant de moments clés, collectifs ou personnels, où les horoscopes semblent occuper une certaine place dans nos lectures. Et les Français sont accros: selon une étude YouGov réalisée pour femina.fr en août 2020, 28 % des Français croient en l’astrologie. Et dans une enquête Ifop pour Femme Actuelle réalisée en novembre 2020, 41 % des personnes interrogées disaient croire à l’explication des caractères par les signes astrologiques.
«Ces chiffres sont stables depuis quelques décennies», commente Serge Bret-Morel, philosophe des sciences, ex-astrologue et référence francophone de l’analyse critique de l’astrologie. Malgré le côté désuet des horoscopes, leur public se renouvelle et il semblerait selon ces deux enquêtes que la part des hommes soit grandissante parmi les «croyants», même si les femmes restent majoritaires. «C’est une croyance socialement distribuée», analyse cependant Laurent Cordonier, docteur en sciences…
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on écoute Serge Bret-Morel
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Grégoire Perra dans Slate
Montessori, Freinet, Decroly, Steiner… les pédagogies dites «alternatives»séduisent de plus en plus de parents soucieux d'offrir à leurs enfants une éducation qu'ils espèrent plus adaptée à leurs besoins. Elle y est, en effet, supposée plus personnalisée et créative que celle proposée dans les écoles publiques républicaines.
Parmi ces pédagogies «nouvelles», celle des écoles Steiner-Waldorf attire tout particulièrement l'attention du fait de la dimension spirituelle plus ou moins avouée tenant au profil de son créateur, Rudolf Steiner, également fondateur de l'anthroposophie.
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Serge Bret-Morel invité par Futura