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presse - Page 2

  • La revue Dialogue arrive

     
     
     
     
     
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    Et oui ça y est le #numéro 1 de la #revue #dialogue #Chine #france est prêt ! #diplomatie #silkroad #routedelasoie #presse

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  • Jennifer Bondon dans la Charente Libre

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    Jennifer Bondon raconte son histoire hors norme dans son livre « Avec maman, tout roule! » De son parcours du combattant pour adopter en tant que personne en situation de handicap, jusqu’à la création de son association Parhandifférement à Marsac.

    « Ta maman, elle a quatre roues, mais c’est pas grave, c’est la vie! » C’est bercé par cette drôle de formule que le petit Théo, à peine deux ans, a rencontré sa mère adoptive en 2013 dans la moiteur d’une pouponnière de Djibouti. « La présidente de l’association Vivre en famille qui m’accompagnait a dit ça à mon fils, ça m’a marqué », raconte Jennifer Bondon, Marsacoise de 43 ans en situation de handicap.....

    Merci David Gauthier pour cet article sensible sur Jennifer Bondon, une femme incroyable...

     

  • Patrick Bonjour dans la Presse

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  • Jardin(s) de Francis Denis, dans la RAL,M

    Retour à la RALM

    Revue d'Art et de Littérature, Musique

     

    Éditions La Route de la Soie

    Gens pas simples

     

    Francis Denis publie chez La Route de la soie un bref volume dans lequel le lecteur sera sans doute invité à réfléchir sur le parallèle de ces deux récits :

    Jardin(s) — C’est le récit laconique que nous fait un assassin de ses crimes aux mobiles somme toute assez dérisoires. Il présente sa narration en actes successifs qui n’aboutissent en rien à des considérations judiciaires. L’ironie s’habille non pas de simplicité, mais d’un langage qui appartient sans doute au psychopathe capable d’amour, certes, mais de peu d’empathie, ce qui le conduit aussi bien à s’évertuer à plaire à ses voisins qu’à décontenancer un supposé psychologue dont le visage demeurera à jamais inconnu. L’endroit (le livre) n’est pas confortable, mais on y entre tout de même et il n’est pas sûr qu’on en sorte.

    La femme trouée — Tout aussi brève, mais non point lapidaire, l’histoire de ces deux femmes, mère et fille, relève à la fois de la réalité la plus ordinaire et du rêve qui fricote avec le désir de miracle. L’enfermement de Marguerite, depuis un dur évènement à l’âge de huit ans, n’est pas aussi vide de sens qu’il y paraît au premier abord. Son esprit, d’abord envisagé de l’extérieur par les yeux de sa mère, qui ne diffère pas des yeux des autres, est soudain propulsé dans cet extérieur comme une suite de miracles ou en tout cas de bonheurs si bien mérités qu’on finit par y croire. Pourtant, ce n’est pas ainsi que s’achève cet étonnant récit.

    Le lecteur amateur des choses de la vie appréciera sans réserve ces fruits de l’observation et le style mis en œuvre par un auteur qui a depuis longtemps fait ses preuves en matière de fiction réaliste.

    Patrick Cintas

     

  • Jardin(s) de Francis Denis, dans Les Plaisirs de Marc Page

    francis denis,

    «  Le poids du bonheur à venir l’emportera-t-il sur celui de la honte et des regrets ?

    Telle est la question jaillissant de la première nouvelle intitulée « Jardin(s) »  proposée par Francis Denis.

    Un des jardins secrets hanté par quelques feux follets, leurs lueurs, ou par les ombres projetées ???

    En quelques actes, le remords, les angoisses  d’un homme se mueront en un étau infernal. Seule la rencontre d’une jeune femme pourrait interrompre la descente aux enfers.

    Ce n’est plus qu’un enfant perdu, meurtri, qui s’abandonne sans honte et tout entier…   

    Lui qui rêvait déjà tout jeune de pouvoir un jour  se retrouver sur les planches. Une façon comme une autre d’échapper à son destin et de dire aux autres : vous voyez, là, c’est moi.

    Seulement, tous les contes de fées n’ont pas la même fin et celui-ci a toutes les chances de finir tragiquement.

    Une seconde nouvelle  « La femme trouée » remuera le terreau où ont été semés tant de souvenirs.  Mais les souvenirs, ça se cultive. Comme les légumes dans le potager, il faut en prendre soin, leur parler, apaiser leur soif, leur murmurer des mots gentils ou encore leur chantonner tout en remuant la terre tout autour pour qu’ils puissent respirer et s’épanouir en toute tranquillité.

    Mais il y a souvent une certaine gêne à s’immiscer dans la vie privée de l’autre, surtout quand la porte est close.

    *

    « Préfacer, postfacer, nous préférons passer, glisser, nous « effacer », comme les personnages si attachants et tristement oubliés de Francis Denis.
    Rêveurs et acharnés, pitoyables démons venant gratter les portes de nos cerveaux-greniers.
    Tant de tendresse inaboutie ! Combien de crimes n’avons-nous pas commis au nom d’impossibles amours ? Combien de rêves avons-nous faits brouillant les cartes du réel ? Vagabonds de l’esprit…
    Mais que sommes-nous d’autre ? Connus ou inconnus, encensés ou méprisés, nous ne sommes que des naufragés sans boussole. Les uns bien à l’abri, dans le carré des officiers, exhibant un galon dans un galion à la dérive, les autres nus et solitaires, sur des radeaux de déraison.
    Où nous allons, nul n’en sait rien.
    Mais peut-être à la fin il n’y a que nos songes, accostant sans fanfare, sur les terres astrales, aurores boréales de Mondes inventés. « 

    Préface signée Alain Cadéo

     
  • Michel Piriou évoque son roman "Parfum d'or rouge" !


  • L'Âge de Piastre dans Ouest France

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    Un article de Pierre Lann

    Après une carrière dans l’Éducation nationale, Michel Piriou vient de publier un roman historique dont l’intrigue prend forme dans le port de Lorient, au XVIIe siècle. Une histoire d’aventure qui embarque le lecteur sur le Blavet, un navire aux cales chargées de piastres, des pièces de monnaie espagnole, qui fait route vers la Chine.

    « Les archives de la Marine sont une mine d’or »

    Pour Michel Piriou, l’inspiration est venue d’un travail sur les archives de la Marine. Toute l’intrigue s’appuie sur des éléments historiques vérifiés. L’auteur s’est attelé à respecter les dates et les lieux pour veiller à ce qu’il n’y ait pas d’anachronismes. « Ces archives sont une mine d’or. Je me suis appuyé sur les livres qui étaient tenus à bord des navires, cela permet de suivre les voyages au plus près de ceux qui l’ont vécu », explique-t-il.

    L’idée de ce livre est née dans les années 1980, lorsque Michel Piriou était instituteur à l’école de Bois-du-Château. Pour intéresser les enfants à l’Histoire, il retrace avec eux les aventures des navires de la Compagnie des Indes. « Cela passionnait les enfants, nous faisions de la géographie, de l’histoire et des maths grâce à ces histoires », sourit-il.

  • Diplômées n°264-265 : artistes empêchées

    AFFDU, Diplômées, revue, artistes empêchées, femmes, féminisme, la route de la soie éditions, Diplômées n°264-265, presse