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Éditions de la Route de la soie - Page 9

  • Marcela Paz Obregon

    Marcela Paz Obregon, Route de la soie - éditions, auteur, chili, théâtre, exil Marcela Paz Obregon est née au Chili.

    En 1974 elle arrive en France à l’âge de onze ans.

    Comédienne, pédagogue, autrice, elle se forme au Conservatoire Régional d’Art Dramatique de Rennes et à l’Ecole Internationale de Théâtre Jacques Lecoq.

    Au travers de son expérience artistique, elle rencontre des écritures et des formes théâtrales diverses : le conte, le théâtre de rue, le théâtre masqué, les écritures classiques et contemporaines. 

    Depuis vingt-cinq ans la transmission est au cœur de sa pratique, l’échange avec des élèves en écoles professionnelles de théâtre et aussi avec un public amateur nourrissent toutes ses activités artistiques. 

    Très tôt dans son parcours de comédienne, elle découvre l’envie d’écrire. Ainsi elle adapte des textes non théâtraux pour la scène, elle écrit des spectacles, parmi lesquels  :

    Flor de Bahia, adaptation tirée du roman de Jorge Amado Doña Flor et ses deux maris, L’Arbre aux Mille Fruits, adaptation d’un mythe amazonien.

    Vénus Museum, spectacle déambulatoire écrit pour la Compagnie Collectif Masque, joué en France et en Suède.

    Et comme un voyage et un dialogue entre sa langue maternelle, l’espagnol et sa langue d’adoption, le français, elle traduit des pièces de théâtre :

    Jeux de Dames de Mariela Romero, Loup Rouge de Marcos Purroy, Le Parloir de Jorge Diaz et Yerma de Garcia Lorca,  traduite pour le metteur en scène Jean Bellorini.

  • Nous avons besoin de Dialogue !

    Dialogue, Chine, France, coopération, Europe

  • Isabelle Verneuil

    Isabelle Verneuil, Route de la Soie - éditions, auteurIsabelle Verneuil est agrégée d’anglais et a enseigné pendant vingt ans en lycée et BTS dans différentes régions de France. Mariée depuis bientôt 35 ans et mère de trois enfants, elle a choisi de prendre une retraite anticipée pour se consacrer à l’écriture qui était un projet d’enfance. Depuis 2009, elle a publié des recueils de nouvelles et des récits de voyage chez Jacques Flament Editions et également des romans bilingues pédagogiques, soit une dizaine d’ouvrages. Les thèmes qui l’intéressent sont les relations humaines, les voyages et les rencontres mais aussi le rapport à la nature et les problèmes de société. Elle est engagée dans une action associative d’aide aux demandeurs d’asile.

     

    Bibliographie :

     

    Romans bilingues anglais/français

    • Les échangés, éditions Kirographaires, 2011, ré-édité par les éditions Vasseur en 2016
    • The barefoot girl, Ophrys, 2013
    • Voyage en Serendipity, éditions du Bord du Lot, 2017

    Recueils de nouvelles

    • Sentinelle, prix Gaston Baissette 2009 (Ecrivains Méditerranéens)
    • Moissons du monde, éditions Jacques Flament, 2012
    • Eloge des peines perdues, éditions Jacques Flament, 2013
    • J’entends le bruit des feuilles qui tombent, nouvelles de nature illustrées par Patrick Bonjour, éditions Jacques Flament, 2018
    • Portraits en noir et bleu, nouvelles illustrées par P. Bonjour, éditions Jacques Flament, janvier 2020

    Poésie :

    • Un printemps singulier (haïkus et photographies), éditions Jacques Flament, décembre 2020

     

    Récits de voyage :

    • Voyageuse Immobile, éditions Jacques Flament, 2014
    • Cambodge, le sourire du mystère, éditions Jacques Flament, 2014

    Album pour enfant 

    • Le grand indicateur, conte africain, éd. Nombre 7, 2021
  • De l'importance des fêtes selon Anaëlle Shahar

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  • Dialogue n°7 : Accord d'investissement Chine-UE

    Chine, dialogue, revue, France, Europe, accord UE, Selon Eurostat, le volume total des échanges entre Chine-UE est d’environ 586 milliards d’euros (+5,3 %). C’est historique, la Chine a dépassé les États-Unis et est devenue le premier partenaire commercial de l’Union européenne (UE). Au cours des onze premiers mois de 2020, les 27 pays de l’UE ont investi 117,98 milliards de dollars en Chine, et les investissements directs cumulés de la Chine dans ces pays ont dépassé 80 milliards de dollars.

    En juin 2020, la Chambre de commerce de l’UE et le cabinet de conseil en stratégie Roland Berger ont publié conjointement à Beijing l’Enquête de confiance 2020. Elle montre que le marché chinois est très attrayant pour la plupart des entreprises de l’UE en Chine, plus de 60 % des sondés déclarant que la Chine restait l’une des trois principales destinations pour leurs investissements. Comme l’annonce cette enquête, des entreprises européennes comme le constructeur automobile allemand Daimler et le fabricant de robots industriels HAHN Automation ont annoncé successivement une hausse de leurs investissements en Chine. Le 1er mars 2021, l’Accord sur les indications géographiques entre la Chine et l’UE est entré en vigueur, avec 550 indications géographiques (275 en Chine et la même quantité dans l’UE) concernant les alcools, le thé, les produits agricoles et les denrées alimentaires. Dans le premier lot des 100 indications géographiques, on trouve le thé Pu’er et l’alcool Moutai pour la Chine, et le Champagne français, le whisky irlandais et la bière de Munich pour l’UE. La Chine et l’UE ont également décidé de mettre en place deux mécanismes de dialogue de haut niveau dans les domaines environnemental, climatique et numérique pour entamer conjointement une coopération verte Chine-UE et un partenariat numérique. Fin 2020, les négociations sur l’Accord global sur les investissements Chine-UE ont pris fin. Comme l’a souligné la présidente de la Commission européenne Ursula vonder Leyen, cet accord « offrira un accès sans précédent au marché chinois pour les investisseurs européens, permettant à nos entreprises de se développer et de créer des emplois ».

    Ce numéro s'attèle en mettre en évidence l'importance de ces liens entre l'Europe & la Chine.

     

    Ont participé à ce numéro :  Sonia Bressler,  Zhou Jinzhu (directeur adjoint et chercheur associé du Département de recherche sur le commerce international au Conseil chinois pour la promotion du commerce international (CCPIT) ), YAN WEIJUAN (journaliste à La Chine au présent), YAO LING (directrice de l’Institut de l’Europe de l’Académie chinoise du commerce international et de la coopération économique relevant du ministère du Commerce), AUGUSTO SOTO (directeur du projet Dialogue avec la Chine),  NICOLAS ZINQUE(journaliste à La Chine au présent), JIN XIN (secrétaire général de l’Alliance de coopération internationale des think tanks de « la Ceinture et la Route »), CUI HONGJIAN (directeur du département des études européennes à l’Institut chinois des études internationales), David Gosset (fondateur du Forum Europe-Chine), FRANCISCUS CORNELIS GERARDUS MARIA TIMMERMANS (vice-président exécutif en charge du Pacte vert pour l’Europe à la Commission européenne),  YANG JING (fondateur de la marque Bonjour Brand et de la société Bonjour Shanghai),  LU RUCAI  (rédactrice en chef),  ZHANG GUOBIN (ancien consul général de Chine à Strasbourg et directeur adjoint de The Charhar Institute), JACQUES FOURRIER (journaliste français basé à Beijing depuis 25 ans), JIA TSE RING (jeune chercheur, titulaire d’une maîtrise en philosophie du bouddhisme tibétain), HOU WENWEN (journaliste à Tianfu Culture),  GUO ZHIDONG (chercheur en culture traditionnelle chinoise au Musée de la cour n°93), Cheng ShanyanAnaëlle Shahar (manager dans le numérique, master en communication numérique),  SÉBASTIEN ROUSSILLAT (traducteur professionnel).

  • Fabien Jacquet : L'essor d'un continent

    Fabien Jacquet, collection Mondes Actuels, Chine, Asie, Australie, route de la soie-éditionsDans le champ des relations internationales, l'Océanie est souvent la grande oubliée. Une sorte de "coin du monde" que les représentations cartographiques les plus souvent utilisées incarnent. Au bout de l'Asie, perdu entre deux océans, noyée dans l'hémisphère sud, ce continent est aussi le moins peuplé, le plus petit - si on ne considère pas l'Europe comme un continent en tant que tel - et le plus "récent", si on s'en tient aux rapports qu'il entretient avec le reste du monde. En conséquence, il est le moins connu et cultive sa part de mystère.

    Dans ce monde éloigné et peu familier, l'Australie occupe une place singulière. Contrairement à ses voisins, dont beaucoup sont des micro-États insulaires, l'Australie est membre du G20, fait partie des pays les plus vastes au monde (au cinquième rang) et bénéficie d'une reconnaissance internationale.

    La démarche de Fabien Jacquet, associée sans doute à son profil de marin et son goût du large, est aussi celle du découvreur, soucieux de partager et faire connaître. Désireux d'associer la rigueur scientifique et le sens du récit, et d'inviter à porter un autre regard sur ce pays mal connu. Et c'est précisément la rencontre de ces deux démarches qui rend ce travail stimulant, très instructif, et qui nous invite à réfléchir, au-delà du cas australien, au sort de nombreuses puissances moyennes, qui hésitent entre affirmation et intégration.

     

    L'ouvrage est préfacé par Barthélémy Courmont, Enseignant-chercheur et responsable du Master Histoire-Relations internationales, Université catholique de Lille / Directeur de recherche à l'IRIS, responsable du programme Asie-Pacifique.

  • Serge Bret-Morel sur France3

    Serge Bret-Morel, France3, Astrologie, Méta de Choc

    Dans son ouvrage "L'astrologie ça marche!... trop, itinéraire d'une astrologue déchu", le lyonnais Serge Bret Morel, ancien astrologue, explique comment il en est arrivé à remettre totalement en question cette pratique. Une démarche critique sans concession sur les coulisses de cette profession.

     

    Le débat est presque aussi vieux... que les étoiles. D'un côté, les accrocs à l'astro, qui attendent chaque matin leur horoscope, ou qui consultent régulièrement leur astrologue favori(te).. Et de l'autre, les cartésiens du réel, qui se moquent gentiment de ces prédictions venues des étoiles, qui n'ont pour eux... aucun sens.

    Au milieu, on retrouve désormais Serge Bret-Morel, dont la particularité est d'être passé d'un monde à l'autre. Esprit plutôt cartésien, cet ancien enseignant en mathématiques, titulaire d'un master en histoire et philosophie des sciences, fut pourtant un fervent astrologue, au point de figurer parmi les membres du bureau de la Fédération des astrologues francophones. "L'astrologie accompagnait ma vie parallèlement à mes autres activités", raconte l'auteur, qui concède : "donc cartésien, oui, au sens populaire du terme".

    Dans un livre "l'astrologie... ça marche trop! ", publié aux éditions de la Route de la soie, il dialogue avec Elisabeth Feytit et raconte son parcours, d'astrologue amateur à passionné... qui est devenu finalement l'un des plus critiques à l'égard de cette discipline : "Au départ, j'étais en fac de sciences, en maths et en physique à la Doua à Villeurbanne et c'est à cette période que j'ai commencé à monter des thèmes astraux. Je me suis interrogé sur moi et tous les gens autour de moi s'intéressaient à ce que je faisais." Assez vite, l'esprit critique prend davantage de place "Lorsque je suis passé en philosophie, j'ai commencé à prendre du recul sur ce que je faisais".

    Une pratique... à l'opposé de toute démarche scientifique

    Mais d'abord, comment définir l'astrologie ? "L'idée de la croyance astrologique, c'est de se dire que si les planètes sont à un endroit du ciel, à un moment donné, ce n'est pas par hasard... Donc, lorsque l'on applique ça à un individu, par exemple, la tradition a développé la thèse que le moment de naissance est important. Et donc que les positions des planètes à la naissance, vues de la Terre, permettraient de dire des choses sur la personne concernée, et voir son avenir. En tout cas, c'est ce qu'affirme l'astrologie." Une définition à laquelle notre ancien astrologue, pourtant scientifique, avait adhéré. "Au début, lorsqu'on s'intéresse à l'astrologie, on se penche très peu sur ses fondements. Il n'y a pas de lien entre la théorie et la pratique, comme pour la science par exemple. En sciences, on teste des hypothèses avec des protocoles rigoureux. Alors qu'en astrologie, cette démarche n'existe pas, en tout cas pas au sens rigoureux du terme."

    Amateur, puis passionné, il décide de comprendre les coulisses de l'astrologie

    Un astrologue répondra sans doute qu'il teste sa pratique quotidiennement, et avec succès. "Ce n'est pas la même chose. Un astrologue va lancer des interprétations, voir si cela parle à son client. Puis il va discuter avec lui, et lui donner, au final, des conseils à la fois un peu psychologiques et philosophiques. On est à l'opposé d'une démarche scientifique." Dans ce cas, comment a-t-il pu y participer ?"Moi, quand je suis tombé là-dedans, j'étais uniquement dans la pratique. J'ai monté mon thème de naissance et je me suis interrogé sur moi-même, et ensuite je faisais pareil avec les gens autour de moi. Cela intéresse toujours les gens."

    .... Lire l'article complet sur le site de France3

     

  • Je suis le corps-soleil

    Patrick Bonjour, Sébastien Quagebeur, poésie, art, Marseille, livre, corps-soleil

  • Fabien Jacquet : L'essor d'un continent

    Fabien Jacquet, collection Mondes Actuels, Chine, Asie, Australie, route de la soie-éditionsOfficier de Marine depuis 2012, Fabien Jacquet, né en 1992, est diplômé de l’École Navale. Entré dans cette école après deux années de classes préparatoires aux grandes études, son cursus s’est initialement inscrit dans la filière scientifique. Dans le développement d’un officier de Marine, il fait également l’apprentissage, au sein de l’École Navale, des enjeux maritimes mondiaux. 

    Lors de ses premières affectations embarquées, il développe une appétence singulière à l’égard des relations internationales. Après avoir réalisé un déploiement maritime de cinq mois, en 2015, qui l’a conduit jusqu’au Japon, en passant par Beyrouth, Djibouti, Eilat, Haïfa, Jakarta, Shanghai et Singapour, il a passé deux années à la Réunion durant lesquelles il a servi à bord d’une frégate de surveillance. Durant ces années, il a contribué à l’affirmation de la souveraineté de la France sur ses territoires ultramarins, notamment australs et du canal du Mozambique, et il a contribué à la lutte contre le trafic de drogue en océan Indien. De retour en métropole en 2017, il a alors été principalement déployé dans les théâtres maritimes arabo-persique, de méditerranée centrale et orientale. 

    Lorsqu’ il a pris le commandement d’un Bâtiment Remorqueur de Sonar, basé à Brest, en août 2019, il s’est également engagé dans une année de formation, à distance, en géopolitique auprès de l’IRIS. Intéressé par la volatilité des enjeux, des tensions et des relations géopolitiques du bassin asiatique et fasciné, voire intrigué, par la singularité du Down Under, il y a notamment conduit un travail de recherche sur le positionnement géopolitique de l’Australie, dont il livre une grille de lecture dans cet ouvrage. Diplômé de l’IRIS en 2020, dans la filière « Analyste en relations internationales », il est depuis retourné sur les bancs de l’École des Systèmes de Combat et Armes Navales. 

  • Serge Bret-Morel dans Le Figaro

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    Nouvel An, crise économique ou sanitaire, anniversaire, changement de vie… autant de moments clés, collectifs ou personnels, où les horoscopes semblent occuper une certaine place dans nos lectures. Et les Français sont accros: selon une étude YouGov réalisée pour femina.fr en août 2020, 28 % des Français croient en l’astrologie. Et dans une enquête Ifop pour Femme Actuelle réalisée en novembre 2020, 41 % des personnes interrogées disaient croire à l’explication des caractères par les signes astrologiques.

     

    «Ces chiffres sont stables depuis quelques décennies», commente Serge Bret-Morel, philosophe des sciences, ex-astrologue et référence francophone de l’analyse critique de l’astrologie. Malgré le côté désuet des horoscopes, leur public se renouvelle et il semblerait selon ces deux enquêtes que la part des hommes soit grandissante parmi les «croyants», même si les femmes restent majoritaires. «C’est une croyance socialement distribuée», analyse cependant Laurent Cordonier, docteur en sciences…