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Chao Ye : laChine en 100 notions
Comprendre la Chine n'est possible que si on laisse tomber nos oeillères occidentales. Nous devons prendre le temps de nous glisser dans les contours de son histoire et dans la compréhension de sa civilisation. Chao Ye nous éclaire sur des grandes thématiques : art, culture, économie, politique, histoire...
- Nombre de pages 222
- ISBN : 9791097042905
- Date de parution : 18/09/2021
- Langue : français
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Scolère
Genre : Récit / coup de gueule / Résistance
Nombre de pages : 84
ISBN : 9791097042899
Date de parution : 16/09/2021
Langue: français
Roland Giraud ici nous livre un témoignage fort, une rage intérieure face à une injustice. Quelle est-elle ? Évidemment, elle touche l'enfance et la différence. Dans un revers littéraire, Roland Giraud venge la vie. Au passage, il nous offre une belle leçon de courage.
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Des couleurs pour des formes
Chantal Célibert demeure près de Lorient aux abords de la mer, de ses éclats, de ses lumières. Elle a enseigné la majeure partie de sa carrière en zone d’éducation prioritaire où elle a eu à cœur de partager sa passion de l’art avec ses élèves ; de leur faire comprendre aussi que celui-ci n’est pas l’affaire d’une élite. Désormais, elle prend davantage de temps pour sentir et observer le monde, et dire comme elle le ressent.
Chez la Route de la Soie-Éditions, nous savons de Michel Piriou son habitude de jouer avec le sens des mots dans ses récits, dans ses romans, nous connaissons de lui « Le pacte des signes », son dernier recueil de poésies. Il se joint à Chantal Célibert dans ce projet nouveau.
Cet album est le résultat d’un travail en parallèle de peinture et d’écriture. Comme tous les langages, ces deux codes graphiques permettent le pétrissage de la pensée. La succession de ces pages nous invite à lire les deux auteurs, deviner leurs manières d’observer, de dire, de construire des points de vue sur le monde. Voici le premier numéro d’une série de trois qui pourrait bien se poser en triptyque dans votre bibliothèque.
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Anne Bergheim-Nègre
Anne Bergheim-Nègre est Docteure en Droit, avocate au Barreau de Versailles après avoir été formée à la Cour de Cassation. Spécialiste en droit du travail. Médiatrice.
Présidente d’University Women of Europe (UWE).
Élue Experte Égalité puis Vice-Présidente en charge de l’Égalité entre les Femmes et les Hommes de la Conférence des OING du Conseil de l’Europe.
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Dialogue n°9 : ensemble, protégeons la biodiversité
La Chine, l’un des pays les plus diversifiés au monde du point de vue biologique, a fait partie des premières nations à adhérer à la Convention sur la diversité biologique. Ces dernières années, les efforts et les réalisations de la Chine en matière de protection de la biodiversité ont été reconnus de tous. Si nous résumons l’expérience de la Chine à cet égard, nous devons mentionner son innovation dans les méthodes de protection, en plus de la haute attention accordée par le gouvernement à ce sujet et de l’implication de toute la société.
En effet, la Chine a proposé et établi le système de ligne rouge écologique. Depuis le mois de novembre 2015, moment où la Chine a créé des projets pilotes de contrôle liés à la ligne rouge écologique dans cinq régions (les provinces du Jiangsu, de Hainan et du Hubei, la municipalité de Chongqing et Shenyang), environ 25 % de la superficie terrestre nationale est délimitée de manière préliminaire par cette ligne rouge. Fin 2019, la superficie totale des diverses réserves naturelles représentait 18 % de la superficie terrestre de l’État, ce qui signifie que la Chine a atteint plus tôt que prévu les Objectifs d’Aichi : protéger aumoins 17 % des zones terrestres et des eaux intérieures et 10 % des zones côtières et marines avant 2020.
Plus précisément, la ligne rouge écologique de la Chine concerne trois parties : les régions très riches en biodiversité, les régions dont l’environnement écologique est sensible et fragile, ainsi que les régions ayant une fonction écologique importante. Toutes les réserves naturelles et tous les parcs nationaux sont inclus dans le champ de la ligne rouge écologique ; les activités d’urbanisation et d’industrialisation à grande échelle y sont restreintes.
À court terme, la restriction des activités d’urbanisation et d’industrialisation à grande échelle dans la ligne rouge écologique pourrait sacrifier certains avantages du développement, mais l’État et les gouvernements régionaux réguleront les revenus des populations concernées (agriculteurs ou éleveurs) par le mécanisme de compensation écologique, en tenant compte de leurs besoins d’existence et de développement, afin de parvenir à un développement durable dans une perspective à long terme.
Le système de la ligne rouge écologique expose au monde un nouveau modèle de protection. Selon Erik Solheim, ancien directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement, il s’agit d’un système immense et important, qui a un énorme potentiel pour aider le monde à résoudre les questions liées à la coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature. " Lu Rucai
Ont participé à ce numéro : ELIZABETH MARUMA MREMA (secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique), CUI SHUHONG (directeur du Département de la protection écologique naturelle relevant du ministère chinois de l’Écologie et de l’Environnement), HU YUE (journaliste à La Chine au présent), ZOU YUEYU (chef de section adjoint de la division de la biodiversité du Centre de coopération environnementale au ministère de l’Écologie et de l’Environnement), ÉLISABETH MARTENS (biologiste spécialisée en médecine chinoise et rédactrice en chef de Chine-ecologie.org), DUAN YI et WANG DAN(journalistes au Quotidien du Yunnan), XU ZIHAN (rédacteur en chef adjoint des Éditions pédagogiques du Yunnan), LI MAOBIAO (professeur agrégé, Institut de la biodiversité au Yunnan de l’Université forestière du Sud-Ouest), YANG YUMING (professeur à l’Académie des sciences des forêts et des prairies du Yunnan), SAMIR MEZDOUR (chercheur à AgroParisTech), LI NAN (directrice du projet de promotion de la Convention sur la diversité biologique au Bureau de représentation du WWF à Beijing), GE LE (chercheur auprès de The Nature Conservancy (TNC)), MA LI (journaliste à La Chine au présent), GAO FUHUA (journaliste au Quotidien de Ya’an), LIU YIXUAN (journaliste à La Chine au présent), YUAN HUI (journaliste à China Daily) ,LIAO BAOLIN (ingénieur en chef en protection de l’environnement marin à l’Institut de recherche de Shenzhen (Université océanique du Guangdong)), MARION CANALE et SOLENA CANALE PAROLA (créatrices de Cearitis).