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  • Poèmes à chanter

    Roland Giraud, poèmes à chanter, poésie, la route de la soie - éditions, livre,

    Suite logique des Pétits poèmes à déchirer, Roland Giraud nous offre des Poèmes à chanter. Ils sont à savourer. Ils nous font voyager dans les interstices du temps et de l'espace. Un voyage au-delà des couleurs, un jeu des odeurs et des joies. Mémoire palpitante des sentiments et des farandoles. 

     

  • Michel Piriou intègre l'Académie des gens de mer

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    La mer est le pays d’inspiration de Michel PIRIOU, par elle, il va à la rencontre du Monde. Avec ses romans, il parcourt les océans à bord de navires d’exception. Il a passé de cette manière le Cap de Bonne Espérance plusieurs fois. Il a raconté ainsi moult ports et petites îles de l’Histoire.

    Son curriculum est multiple car il a consacré son travail à différentes disciplines et à la recherche-action en pédagogie. L’éducation qu’il dit avoir reçue de ses parents et de ses maîtres à l’école et au lycée, l’a amené à faire de la connaissance le sens de son existence. Le savoir donc comme principe qui l’a mené naturellement à une carrière croisée d’étudiant et d’enseignant.

    Carrière d’étudiant parce qu’il a toujours été inscrit à l’université, mathématiques, sciences de l’éducation, astrophysique, … Les derniers cours qu’il a suivis, bien après le passage de la cinquantaine, parlaient de géologie planétaire.

    Carrière d’enseignant parce qu’il a exercé depuis la petite école jusqu’à l’université. La connaissance donc comme une règle de vie et c’est à ce titre qu’il a formé des enseignants à l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Bretagne. Il s’est consacré à l’apprentissage de la lecture. Il a animé des recherches-actions sur ces questions en approfondissant la nature du langage écrit et de la littérature. Ce fut l’objet de sa responsabilité à la direction du comité de rédaction de la revue Les Actes de Lecture. Il s’est spécialisé aussi dans l’élaboration de Politiques Territoriales de la Lecture en Belgique. À présent, il donne des conférences sur la nature du langage écrit et sur les travaux en Histoire maritime qui alimentent ses romans.

    Tout en conduisant une carrière de 40 ans en tant qu’enseignant et éditorialiste pédagogique, il a produit des textes poétiques, un travail d’écriture de théâtre alors qu’il dirigeait la troupe de la Compagnie les Uns et les Autres. Il se consacre désormais au roman historique maritime. Depuis juillet 2019, il fait parti d’une maison d’édition parisienne qui consacre ses publications au lien entre la France et la Chine. La route de la soie Éditions réunit des écrivains, des philosophes et des sociologues de ces deux pays. Le dernier roman de Michel PIRIOU parle de ces hommes d’exception de la compagnie des Indes qui cherchaient à renforcer l’alternative de la route de la soie par la mer. Il a également écrit quelques essais de sociologie de la lecture ainsi que de nombreux articles, critiques et éditoriaux.

  • Les nouvelles routes de la soie : rêve chinois, cauchemar indien

    Se sentant – non sans raison – menacés d’encerclement à la fois commercial, géostratégique et militaire, les Indiens sont extrêmement suspicieux et craintifs vis-à-vis de l’initiative Belt and Road chinoise, qu’ils tentent de contrecarrer de diverses manières.

    Par Serge Granger / source Aérion 24 News

    Durant le premier forum Inde-Asie centrale tenu à Bichkek en juin 2012, le ministre des Affaires extérieures de l’Inde, Edappakath Ahamed, dévoilait la Connect Central Asia Policy en grande pompe. Quelques mois plus tard, l’annonce du projet de la nouvelle route de la soie par la Chine en 2013 et le déblocage de crédits nécessaires à sa réalisation en novembre 2016 indisposaient les Indiens. Affirmant de pas avoir été consultés, les Indiens sont toujours réfractaires à ce projet pour de multiples raisons.

     
     

    Dans le « Grand Jeu » pour la domination de l’Asie centrale, le pionnier de la géopolitique, Halford MacKinder, émettait la thèse que la domination terrestre du couloir euro-asiatique garantissait la domination du monde. Quarante ans plus tard, Spykman avançait l’idée que c’était la domination maritime sur les flux commerciaux qui garantissait la puissance. Plus récemment, une série de publications relisaient la thèse du Grand Jeu en y incluant la participation de l’Inde et de la Chine (1). Or, si l’Inde n’a que très peu d’emprise sur la route terrestre, la route maritime constitue pour elle un enjeu vital.

    Ainsi, plusieurs observateurs indiens perçoivent les routes de la soie comme étant la confirmation d’un désir de domination chinoise sur le corridor euro-asiatique qui encerclerait l’Inde, limitant sa capacité à bénéficier du commerce intercontinental. Plus grave encore, la croissance de l’influence politique de la Chine en Asie centrale menacerait la sécurité indienne. Pour Nirupama Rao, ex-ambassadeur de l’Inde en Chine et aux États-Unis, l’initiative des routes de la soie est même l’expression d’un hard power chinois croissant à la fois dans les mers asiatiques et en Asie continentale (2).

    Capter le flux commercial

    Sur terre

    Quels que soient les cartes et les plans des routes de la soie terrestres, on ne peut que constater que très peu de connectivité infrastructurelle est prévue avec l’Inde. Le corridor sino-pakistanais reliant Kashgar au port de Gwadar contourne l’Inde, alors que le corridor Bangladesh-Chine-Inde-Birmanie (BCIM) permet à la Chine d’atteindre la baie du Bengale par la Birmanie.

    Outre le pétrole et le gaz, les minerais importés par la Chine pourraient également utiliser le corridor sino-pakistanais. Dans cette perspective, la Chine a investi 3,5 milliards de dollars pour l’acquisition de la mine de cuivre d’Aynak, en Afghanistan, par la China Metallurgical Group Corporation, et pour la construction d’un chemin de fer reliant la province de Logar, au sud de Kaboul, à la ville-frontière pakistanaise de Torkham. En plus du gisement de cuivre, les Chinois sont intéressés par le fer et les mines d’or du pays. Le corridor répondra au manque d’infrastructures afghan et entre dans le cadre d’un projet plus vaste pour l’Asie centrale. La puissance économique de la Chine doit ainsi agir comme un aimant attirant les importations et laissant l’Inde et la Russie sur leur faim.

    La question de la connectivité entre l’Inde et l’Asie centrale (qui n’ont pas de frontière commune), revêt donc une importance primordiale. Or, pour rejoindre l’Asie centrale, l’itinéraire le plus court en partant d’Inde passe par le Pakistan et l’Afghanistan. Étant donné que l’hostilité du Pakistan envers l’Inde et sa coopération avec la Chine sont évidents, la connectivité terrestre avec l’Asie centrale reste problématique. Le peu de connectivité entre l’Inde et l’Asie centrale la forçait à se fier jusque-là malgré tout au transit pakistanais pour commercer avec l’Afghanistan, incapable de s’entendre avec le Pakistan sur un traité qui aurait permis des tarifs suffisamment bas pour ne pas pénaliser les importations et exportations de l’Afghanistan. L’ouverture en octobre 2017 du port iranien de Chabahar permet désormais à l’Inde de contourner le corridor sino-pakistanais tout en transitant par l’Iran et désenclave l’Afghanistan vers le sud. Cette nouvelle route, élaborée sans l’aide de capitaux chinois, non seulement sert à sécuriser les échanges commerciaux de l’Inde avec l’Afghanistan, mais elle mine aussi la capacité pakistanaise à faire monter les enchères pour tout transit sur son territoire (3).

    Pour contrecarrer les routes de la soie terrestres chinoises, l’Inde riposte également avec d’autres partenaires comme l’Iran et la Russie, qui projettent une route intermodale avec le projet North-South Transport Corridor reliant Mumbai à St-Petersbourg, via Téhéran et Bakou. Ce projet augmentera nécessairement le commerce bilatéral, anémique aujourd’hui (sauf dans le secteur de l’armement), entre l’Inde et la Russie. Également, le projet d’autoroute trilatérale Inde-Birmanie-Thaïlande permettra au Nord-Est de l’Inde, pratiquement enclavé, d’accéder à de nouvelles routes vers l’Asie du Sud-Est. Les routes indiennes vers le Sud-Est asiatique sont primordiales, car elles faciliteront les exportations indiennes qui plafonnent vers cette région.

    Sur mer

    L’océan Indien est loin d’être l’océan des Indiens. L’arrivée de la Chine en océan Indien indispose New Delhi, qui voit se multiplier des installations portuaires où battent les pavillons chinois. Gwadar au Pakistan est sans doute celui que craint le plus l’Inde : un port financé et géré par la Chine qui pourrait toujours abriter des destroyers chinois en cas de conflits maritimes ou de piraterie. En juillet 2017, les autorités srilankaises signaient avec Pékin une entente similaire à celle de Gwadar, pour ses installations portuaires de Hambantota. En décembre 2016, la Chine concluait une multitude d’ententes pour les ports du Bangladesh, d’une valeur de 21 milliards de dollars. Les contrats de construction des infrastructures portuaires transportant les hydrocarbures vers les raffineries de Chittagong furent octroyés aux Chinois en octobre 2017, confirmant l’emprise de la Chine dans le transport maritime des denrées qu’importent et exportent les voisins de l’Inde.

    Pour concurrencer les routes de la soie maritimes de la Chine, l’Inde et le Japon ont lancé l’Asia Africa Growth Corridor (AAGC) en novembre 2016. Ce projet vise à relier le Japon, l’Océanie, l’Asie du Sud-Est, l’Inde et l’Afrique, continent de plus en plus sino-centré. Le retard du projet Kaladan, en Birmanie, qui visait lui aussi à limiter la dépendance birmane envers les infrastructures proposées par la Chine, a poussé les autorités birmanes à octroyer aux Chinois l’exploitation et le transport par gazoducs des trillions de mètres cubes de gaz naturel au large de l’État de Rakhine vers le Yunnan.

    Dans les négociations

    D’un point de vue commercial, les routes de la soie favorisent la Chine dans le commerce euro-asiatique, puisque ces infrastructures est-ouest favorisent une croissance des exportations de biens, une force majeure du pays. Ces infrastructures permettront également à la Chine d’importer plus facilement des matières premières en les réexpédiant en produits finis. Pour l’Inde, cette concurrence accrue de la Chine met en péril le développement du parc industriel national, essentiel à la création d’emplois dans un pays peuplé de jeunes.

    En augmentant son interdépendance économique avec les pays traversés par les routes de la soie, la Chine accentue son influence au sein des négociations du Partenariat économique global régional (RCEP). S’il devient une réalité, le RCEP sera le plus grand accord commercial de libre-échange au monde, incluant plus de 45 % de la population mondiale, et premier accord de libre-échange entre la Chine et l’Inde. Alors qu’il en est à sa 20e ronde de négociations, la Chine impose sa vision en faveur de plus amples concessions sur les échanges de biens, et non de services comme le désire l’Inde. Initialement lancés par l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), il y a cinq ans, les pourparlers doivent se conclure bientôt et tout arrangement tarifaire risque de bénéficier à la Chine. L’Inde, jugée trop protectionniste par les autres parties au RCEP, devra abaisser ses tarifs douaniers. Mais, contrairement à la Chine, l’Inde compte une société civile vigilante et revendicatrice, qui peut défaire les gouvernements et remettre en cause le chemin de la libéralisation. Par exemple, c’est plus de 90 millions de paysans indiens qui arrondissent leurs fins de mois par la production laitière et une déréglementation de l’industrie occasionnerait de grandes manifestations paralysantes. Bien que majoritaire en ce moment, le gouvernement indien peut difficilement abandonner ses politiques protectrices, contraires à l’esprit du libre-échange. Il en va de même pour le secteur industriel, qui n’est tout simplement pas capable de rivaliser avec celui de la Chine, hormis quelques industries comme le textile ou la pharmaceutique. Avec une initiative des routes de la soie sino-centrée, l’Inde aura encore plus de difficultés à se joindre aux chaines de valeurs asiatiques.

    Inquiétudes géopolitiques

    Le programme de connectivité d’infrastructures accroitra aussi l’influence stratégique de la Chine dans les zones maritimes concernées par les nouvelles routes de la soie et qui comprennent l’océan Indien, les eaux de la baie du Bengale et la mer d’Oman. Cette activité chinoise inquiète l’Inde, acteur géopolitique prédominant dans cet espace maritime. Sa préoccupation principale est de savoir si les nouvelles infrastructures, liées à la Chine et financées par elle, seront utilisées à des fins militaires et stratégiques.

    Le gouvernement indien est également particulièrement inquiet au sujet du corridor sino-pakistanais qui comprend des projets sur le territoire cachemiri que l’Inde revendique. C’est pourquoi il a fait pression pour l’inclusion d’une disposition au sein de la Charte de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (censée financer certains projets de l’initiative des routes de la soie et dont elle est membre) selon laquelle, dorénavant, l’approbation unanime des projets financés en territoires contestés est requise. La localisation géographique du Pakistan coupe l’Inde d’un accès direct vers l’Afghanistan, alors que son emplacement stratégique permet à la Chine de contenir, ou du moins de remettre en cause, la montée en puissance d’une Inde comme puissance terrestre et maritime. En Asie du Sud, les réalités du « trois quart indien » (l’Inde représentant 75 % de la population, du PIB et du territoire régional) poussent les petits pays comme le Sri Lanka, la Birmanie et le Bangladesh à accueillir à bras ouverts la présence chinoise pour lui faire contrepoids. Et les différents ports de ces pays permettent à la Chine d’étaler son collier de perles en limitant la capacité indienne à contrôler l’océan Indien.

  • Crypto-Yuan

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    Dans l’univers des monnaies cryptées, une nouvelle compétition vient de s’engager et la Chine vient d’en prendre la tête. Elle entend devenir la première nation à lancer la première monnaie cryptée souveraine du monde. Après l’explosion des monnaies cryptées, dites libres et anonymes, s’imposent, les uns après les autres, ces projets de monnaies cryptées d’un nouveau genre : les monnaies cryptées souveraines. Elles ont déjà un acronyme : CBDC (central banks digital currency).

    Pascal Ordonneau, ancien banquier, passionné par les questions économiques et monétaires, a écrit de nombreux livres, articles et chroniques dont deux ouvrages sur les nouvelles monnaies cryptées, la blockchain et les Initial coins offerings. Il a participé aux études lancées par l’Institut de l’Iconomie sur l’Intelligence artificielle et le projet de monnaie, la Libra, initié par le créateur de Facebook. Avec le présent livre, Pascal Ordonneau entame une réflexion sur les monnaies cryptées souveraines.

  • Je suis le Corps-Soleil

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    Je suis le Corps Soleil est un livre poétique. L'écriture de Sébastien Quagebeur entre en résonance avec les couleurs et les traits des dessins de Patrick Bonjour. Tous les deux nous font rencontrer la mer, et découvrir la ville de Marseille comme nous ne l'avons jamais vue. Des délices d'écumes, de plages, d'odeurs, de sentiers... Nous allons de beauté en beauté, nous savourons les lueurs du jour, nous dansons avec le vent, jouons avec le clapotis des vagues et nous regardons les méduses avec inspiration...

  • Avec Maman, tout roule !

    jennifer bondon, avec maman tout roule, la route de la soie - éditionss

     

    "D'aussi loin que remontent mes souvenirs, j'ai toujours pensé qu'être maman était dans l'ordre des choses. Aujourd'hui, j'ai le bonheur d'être mariée et d'avoir deux magnifiques garçons. Je m'investis dans des valeurs qui me tiennent à coeur. Ces deux maternités aussi différentes soient-elles ont changé ma vie et ce malgré mon handicap qui aurait pu compromettre mes rêves. Au contraire il m'a permis de trouver ma mission de vie, de créer ma propre association et aider à mon tour.
    Ce livre est un témoignage que j'ai voulu positif, joyeux et réaliste. Surtout il témoigne de ma reconnaissance envers les personnes qui ont fait de moi la fille, la femme, la mère que je suis aujourd'hui."

     

  • Frédéric Maragnani

    image.jpgDirecteur de lieu culturel et de Théâtre, il conduit entre 2011 et 2016, le projet de la Manufacture Atlantique à Bordeaux, Fabrique d’art et de culture dédiée à la jeune création et aux écritures nouvelles pour lequel il invente des évènements inédits : les Banquets Littéraires, la Grande Mêlée scène ouverte pour la jeune création. Parallèlement il engage un vaste projet de Littérature Orale pour tous : la Bibliothèque des Livres Vivants, aujourd’hui composée de seize de la littérature classique et contemporaine.

    Depuis 2017, il dirige le Théâtre de Chelles pour lequel il a proposé un projet destiné aux paroles et à l'oralité. Il y développe de nouveaux partenariats avec les scènes du territoires avec le dispositif Voisins de Scène, une collaboration suivie avec des événements comme le Festival d'Automne ou le Festival Impatience, un rapport renouvelé aux publics, et invente le Festival SOLO, festival interdisciplinaire du seul-en-scène qui se structure sur le territoire Francilien. 

    Metteur en scène, depuis 1994, il a mis en scène des textes de Noëlle Renaude, Emmanuel Texeraud, Christophe Huysman, Howard Barker, Lolita Monga, Jean-Luc Lagarce, Philippe Minyana, Carlo Goldoni, Eric Pessan, Lancelot Hamelin, Nicolas Fretel, Henry Becque, Olivier Choinière, Bertolt Brecht.

    Développant un rapport aïgu à au son, au rythme, à l'oralité, ses mises en scène ont été présentées au Théâtre nationale de Bordeaux-Aquitaine, au Théâtre de l'Odéon, au Théâtre de la Ville, à Théâtre Ouvert, au Théâtre du Rond-Point, et au Festival d'Avignon.

    Landes est son premier récit.

  • Sébastien Quagebeur

    Sébastien Quagebeur, auteur, poète, la route de la soie - éditionsPoète, écrivain, artiste plasticien né en 1976 d’un père franco-belge et d’une mère polonaise et tchécoslovaque, Sébastien Quagebeur grandit dans un quartier riche en différences culturelles et sociales. Il se passionne très tôt pour l’art et la musique. Après des études en psychologie, il devient travailleur social. Passionné de littérature africaine, antillaise et afro-américaine, membre du Collectif James Baldwin, ses écrits s’inspirent de l’ailleurs et des cultures du monde.

    Bibliographie

    • La douceur du temps, poèmes éditions Chloé des lys, 2014
    • Au pays des fugues, poèmes et collages éditions Unicité, 2016
    • Il faut que la ville éteigne ses lumières, poèmes et illustrations avec Patrick Bonjour éditions unicité, 2019
    • Je suis la corps-soleil, poèmes et illustrations avec Patrick Bonjour, La Route de la Soie - Éditions, 2020
  • Patrick Bonjour

    Patrick Bonjour, auteur, dessinateur, la route de la soie - éditionsAprès quatre ans de Droit à Grenoble et un an de service militaire en Allemagne, montée à Paris pour devenir dessinateur de presse (collaborations à une soixantaine de journaux depuis trente ans). Découverte de la couleur dans un atelier de gravure en 1990. Deux beaux enfants en 1996 et 2000, une quinzaine de livres depuis 2005, des expositions, des ateliers d’arts plastiques, pas de ratons laveurs en revanche mais des cartes postales, des affiches, des vitraux, des céramiques…

  • Jennifer Bondon

    Jennifer Bondon, auteur, la route de la soie éditionsJennifer Bondon naît, le 15 novembre 1977, à Villeneuve Saint Georges dans le Val-de-Marne.
    Atteinte d'un spina bifida une malformation congénitale du tube neurale, elle se déplace en fauteuil roulant manuel à partir de ses sept ans.
    Sa soeur naît le 27 mars 1990. Elles grandissent, ensemble, en région parisienne, dans le département de l'Essonne.
    Jennifer poursuit la quasi totalité de sa scolarité dans des écoles  classiques.
    Après son bac elle étudie la littérature et la civilisation hispanique à l'Université Paris-Est Marne la Vallée.
    Après une licence, à 23 ans, elle décide d'arrêter ses études universitaires et poursuit une formation pour devenir secrétaire médico-sociale.
    Profession qu'elle exercera pendant près de huit ans.
    L'été 2002 est un bouleversement, un chavirement heureux, elle rencontre Cédric (via internet) qui deviendra son mari le 21 juin 2003. En 2006, Jennifer donne naissance à son premier fils, puis ils décident de quitter la région parisienne pour s'installer en Charente (région native de son mari).
    Au terme d'un parcours qui durera 6 ans, elle sera maman pour la seconde fois, en adoptant son deuxième fils en Afrique elle décide alors de devenir maman au foyer.
    Jennifer décide de s'engager dans différentes associations qui œuvrent pour l'enfance délaissée et en particulier les enfants en situation de handicap.
    En 2017, elle fonde l'association Parhandifféremment  qui accompagne avec des personnes en situation de handicap dans leur projet d'adoption.